Ancien marinier, lŽauteur évoque dans cet ouvrage une période noire pour la Garonne et la Dordogne.
Après la Seconde Guerre mondiale, la reconstruction de la France exigeait de grandes quantités de matériaux de construction. Alors, le lit du fleuve a été dragué, les berges saccagées. Un arrêté préfectoral a finalement stoppé ce pillage. LŽéquilibre naturel a été rompu pour quelques années.
Ce sont ses remords - et ceux de ses anciens collègues - qui ont décidé Jean-Paul Videau à témoigner. Désormais, il se sentira moins ... Lire la suite
Jean-Paul Videau est né sur un bateau, au large de l'Île Verte dans
l'estuaire de la Gironde, c'est tout dire... Quinze ans de vie sur les
gabares et, à l'âge adulte, patron marinier... De ses innombrables
souvenirs sont déjà nés une série de romans, recueils, poèmes, récits
pour enfants.
Dans la droite ligne de ses précédents romans, Jean-Paul Videau
vous embarquera pour un nouveau voyage sur son navire... et vous
y aurez certainement bon vent avec ce capitaine !
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
16/05/2007
EAN
9782842655167
Editeur
La Decouvrance
Caractéristiques
Poids
290 g
Présentation
Grand format
Dimensions
21,0 cm x 14,8 cm x 1,5 cm
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Livre numérique
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Détail
Ancien marinier, lŽauteur évoque dans cet ouvrage une période noire pour la Garonne et la Dordogne.
Après la Seconde Guerre mondiale, la reconstruction de la France exigeait de grandes quantités de matériaux de construction. Alors, le lit du fleuve a été dragué, les berges saccagées. Un arrêté préfectoral a finalement stoppé ce pillage. LŽéquilibre naturel a été rompu pour quelques années.
Ce sont ses remords - et ceux de ses anciens collègues - qui ont décidé Jean-Paul Videau à témoigner. Désormais, il se sentira moins seul à supporter les tourments de ces titanesques années.
[...] Encore une bonne raison pour ne pas fermer lŽoeil de la nuit. Imaginez le tintamarre que pouvaient produire les moteurs qui entretenaient les pompes quand les pots dŽéchappement crachaient tous leurs décibels sous les voûtes du quai, cŽétait une caisse de résonance qui amplifiait au centuple le bruit des machines, et lŽécho se répercutait à de grandes distances. Les pauvres mariniers du canal du Midi, qui sŽaccostaient sur lŽancien bateau-lavoir à cent mètres à peine de nous, devaient souvent nous « bénir ». Maintenant, je comprends lŽanimosité quŽils avaient contre les gravillous [...]
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