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Pensées du cinéma

Raymond Bellour (Auteur)
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Résumé

Les essais réunis dans ce livre ont été écrits entre 1986 et 2016.
Ils ont tous été publiés dans divers volumes collectifs et revues (très largement dans la revue de cinéma Trafic dont Raymond Bellour est un des responsables). Ils concernent uniquement les films, le cinéma, contrairement à ses trois recueils antérieurs (L'Entre-Images. Photo, cinéma, vidéo ; L'Entre- Images 2. Mots, images ; La Querelle des dispositifs. Cinéma - installations, expositions) consacrés aux rapports entre le cinéma et les autres images.
Ces textes sont nés ... Lire la suite
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Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution04/11/2016
CollectionTrafic
EAN9782818039984
Nb. de Pages416
Caractéristiques
EditeurP.o.l
Poids644 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,5 cm x 15,5 cm x 2,0 cm
Détail

Les essais réunis dans ce livre ont été écrits entre 1986 et 2016.
Ils ont tous été publiés dans divers volumes collectifs et revues (très largement dans la revue de cinéma Trafic dont Raymond Bellour est un des responsables). Ils concernent uniquement les films, le cinéma, contrairement à ses trois recueils antérieurs (L'Entre-Images. Photo, cinéma, vidéo ; L'Entre- Images 2. Mots, images ; La Querelle des dispositifs. Cinéma - installations, expositions) consacrés aux rapports entre le cinéma et les autres images.
Ces textes sont nés un par un au gré des chocs provoqués par les films et des questions que les films posent au cinéma. D'où s'ensuivent les deux parties qui les rassemblent : « Les films qu'on accompagne » ; « Le cinéma qu'on cherche à ressaisir ».
Accompagner un film, c'est se tenir dans sa compagnie. C'est à dire, sinon toujours le suivre pas à pas, ce qui s'avère de toute façon illusoire, mais au moins en suggérer une sorte d'illusion grâce à la proximité marquée envers tels ou tels de ses instants, tels de ses traits les plus saillants, quels qu'ils soient pourvu que se révèle ainsi la prégnance du détail attestant la réalité de la capture dont le spectateur a été la proie et qu'il essaie de rendre au fil de l'argumentation, de l'évocation qui lui paraît propre à servir le caractère unique, la valeur, le génie du film auquel il a choisi de s'attacher. (Une micro-partie fait exception, dans ce premier volet, l'ensemble consacré aux quatre films de Philippe Grandrieux, réunis pour cette raison en fin de cette première partie).
Le second volet de ce recueil, « Le cinéma qu'on cherche à ressaisir », redouble en un sens ce que l'approche des films singuliers se trouve déjà engager, tant chaque film qui frappe met en jeu le tout du cinéma. Mais un changement d'échelle est ici visé : soit le fragment de film, resserré sur lui-même, ou le choix d'une composante (ainsi les trois brefs essais consacrés à Alfred Hitchock); soit un cinéaste au contraire approché plus ou moins dans son ensemble (ainsi John Ford ou Vincente Minnelli); soit encore un problème, un niveau de réalité qualifiant le cinéma comme tel (les deux derniers us-ensemble de cette seconde partie). Un sous-ensemble est aussi consacré à trois hommages (Serge Daney, Chris Marker, Harun Farocki).
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