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opium

Jean Cocteau (Auteur)
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Résumé

En 1928, cinq ans après la mort de Raymond Radriguet, lors d'une cure de désintoxication dans une clinique, Jean Cocteau, opiomane, écrit et dessine. Pour lui, il s'agit de la même activité, du même acte de créateur : "Ecrire, pour mois, c'est dessiner, nouer les lignes de telle sorte qu'elles se fassent écriture, ou des dénouer de telle sort que l'écriture devienne dessin." Ainsi, tout au long des jours, des instants, un livre naît sous nos yeux, fait de notations, de jeux avec les ... Lire la suite
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Biographie

Poète, dramaturge, cinéaste, chorégraphe, peintre, Jean Cocteau (1889-1963) était un génial « touche-à-tout ». Passé maître dans l'art du sortilège, ce créateur que son originalité empêche d'enfermer dans telle ou telle mouvance littéraire ou artistique ne se voua qu'à un seul maître : l'étonnement. Le sien comme celui des autres.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution10/02/1999
CollectionLa Bleue
EAN9782234051379
Nb. de Pages272
Caractéristiques
EditeurStock
Poids210 g
PrésentationGrand format
Dimensions18,5 cm x 12,0 cm x 2,0 cm
Détail

En 1928, cinq ans après la mort de Raymond Radriguet, lors d'une cure de désintoxication dans une clinique, Jean Cocteau, opiomane, écrit et dessine. Pour lui, il s'agit de la même activité, du même acte de créateur : "Ecrire, pour mois, c'est dessiner, nouer les lignes de telle sorte qu'elles se fassent écriture, ou des dénouer de telle sort que l'écriture devienne dessin." Ainsi, tout au long des jours, des instants, un livre naît sous nos yeux, fait de notations, de jeux avec les mots, de jugements de poète. Aux commentaires sur la littérature et les écrivains (Proust, Raymond Roussel) viennent s'ajouter des remarques sur le cinéma (Buster Keatin, Chaplin, Eisenstein, Buñuel), sur la poésie, sur la création, sur l'art.

En thème lancinant, qui revient au détour de chaque page, c'est celui de l'opium. "Tout ce qu'on fait dans la vie, même l'amour, on le fait dans le train express qui roule vers la mort. Fumer l'opium, c'est quitter le train en marche ; c'est s'occuper d'autre chose que de la vie, de la mort." Ainsi Jean Cocteau retrouve-t-il la grande tradition des poètes visionnaires, de Quincey, Baudelaire, et surtout Rimbaud.
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