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Nina : Tre giorni son che Nina

Pergolesi G B. (Auteur)
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Résumé

L'arrangement de cette courte aria antica attribuée à Pergolèse est le fruit d'une commande à l'occasion du concert-hommage à Enrico Caruso qui s'est tenu à Paris au théâtre des Champs Élysées, le 15 juin 2009.
Destinée à un orchestre philharmonique et avec un programme de concert comportant principalement des extraits d'ouvrages romantiques, j'ai donc décidé de renoncer à une version trop intimiste ou de chambre pour adopter finalement une couleur plus lyrique et respectueuse de la version funèbrement majestueuse que nous propose le grand Enrico ... Lire la suite
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Caractéristiques

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Date Parution19/06/2023
EAN9790231804317
Nb. de Pages10
EditeurSymetrie
Caractéristiques
Poids60 g
PrésentationGrand format
Dimensions29,7 cm x 21,0 cm x 0,1 cm
Détail

L'arrangement de cette courte aria antica attribuée à Pergolèse est le fruit d'une commande à l'occasion du concert-hommage à Enrico Caruso qui s'est tenu à Paris au théâtre des Champs Élysées, le 15 juin 2009.
Destinée à un orchestre philharmonique et avec un programme de concert comportant principalement des extraits d'ouvrages romantiques, j'ai donc décidé de renoncer à une version trop intimiste ou de chambre pour adopter finalement une couleur plus lyrique et respectueuse de la version funèbrement majestueuse que nous propose le grand Enrico Caruso (j'ai voulu proposer dans un premier temps un arrangement dans le respect du recueillement et de la sobriété du texte original).
En effet, le texte italien nous décrit la complainte funèbre d'un jeune amant suppliant les instruments à vent et à percussions de réveiller sa petite Nina, alitée depuis trois jours, afin qu'elle ne dorme plus... M'inspirant de l'enregistrement d'Enrico Caruso, j'ai tenté de rendre à l'orchestre l'ambiance macabre et sombre d'une situation désespérée où les cordes s'unissent lourdement aux bois et aux cuivres afin de développer, telles des grandes orgues, toute leur expressivité. J'ai également respecté le final de la ver- sion Caruso qui invente une coda inédite, rallongeant quelque peu l'aria. L'orchestre illustre ce final à la façon d'une procession rythmant sa marche d'accents plus funèbres que religieux.
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