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Monument et modernité dans l'art et la littérature britaniques...

Charlotte Gould, Jean-Jacques Lecercle, Cécile Roudeau (Auteur)
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Résumé

C'est le paradoxe du monument moderne que ce livre se propose d'explorer. A mesure que l'enjeu de l'inscription mémorielle devient idéologiquement plus suspect, le monument se métamorphose, et l'art anglais et américain vient interroger sans relâche, par-delà le rapport à l'Histoire, les enjeux sociaux et environnementaux de la commémoration. Le marbre grec est-il blanc, le toponyme indien laisse-t-il une trace ? Construire ou décrire un monument, est-ce conforter son identité ou subtiliser la mémoire de l'autre ? Peu à peu, l'art et la littérature revisitent, ... Lire la suite
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Biographie

Roudeau est professeure à l'université de Paris (littérature étatsunienne au XIXe siècle).
Jean-Jacques Lecercle est linguiste et philosophe, professeur honoraire des universités. Auteur d'un grand nombre d'ouvrages, il a récemment publié De l'interpellation (Amsterdam, 2019).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution12/01/2016
EAN9782878546262
Nb. de Pages320
EditeurPresses De La Sorbonne Nouvelle
Caractéristiques
Poids595 g
PrésentationGrand format
Dimensions24,4 cm x 16,1 cm
Détail

C'est le paradoxe du monument moderne que ce livre se propose d'explorer. A mesure que l'enjeu de l'inscription mémorielle devient idéologiquement plus suspect, le monument se métamorphose, et l'art anglais et américain vient interroger sans relâche, par-delà le rapport à l'Histoire, les enjeux sociaux et environnementaux de la commémoration. Le marbre grec est-il blanc, le toponyme indien laisse-t-il une trace ? Construire ou décrire un monument, est-ce conforter son identité ou subtiliser la mémoire de l'autre ? Peu à peu, l'art et la littérature revisitent, brisent et transfigurent le monumental. Comment définir le monument contemporain, autrement qu'à travers ses échelles variables, du jardin de Finley au labyrinthe d'acier de Richard Serra, installations éphémères et solides à la fois ? D'où cette force proprement poétique du monument, que cette « promenade » permet d'approcher et réévaluer.
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