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mon slip était trop petit

Christophe Duchiron, Manuel Tissier (Auteur)
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Résumé

Un superbe éloge de la mauvaise foi dans le sport.
C'est une évidence, les perdants sont plus nombreux que les gagnants. En football, un seul champion du monde pour 31 battus, une seule gagnante à Roland-Garros ou Wimbledon pour 127 malheureuses. Au coeur de cette masse sportive à la mine défaite, on distingue deux catégories : celle des vaincus qui reconnaissent avec humilité la supériorité de l'adversaire. Et l'autre, celle des mauvais perdants, qui brandit le déni comme un étendard et la mauvaise foi comme ... Lire la suite
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Biographie

Manuel Tissier est rédacteur en chef adjoint de Stade 2. Il a également été grand reporter aux services sports, société et politique du JT de France 2 et au sein du magazine Complément d'enquête. Il pratique la boxe, le football et le tennis de table de salon.
Christophe Duchiron est réalisateur de documentaires (Roger Couderc le 16e homme ; Antoine Blondin, la légende du Tour ; Pierre Desproges, une plume dans le culte.). Auparavant, il a été journaliste, chef adjoint du service des sports au JT de France 2 et footballeur du dimanche.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution13/10/2022
EAN9782263179891
Nb. de Pages152
EditeurSolar
Caractéristiques
Poids424 g
PrésentationGrand format
Dimensions18,6 cm x 16,5 cm x 1,9 cm
Détail

Un superbe éloge de la mauvaise foi dans le sport.
C'est une évidence, les perdants sont plus nombreux que les gagnants. En football, un seul champion du monde pour 31 battus, une seule gagnante à Roland-Garros ou Wimbledon pour 127 malheureuses. Au coeur de cette masse sportive à la mine défaite, on distingue deux catégories : celle des vaincus qui reconnaissent avec humilité la supériorité de l'adversaire. Et l'autre, celle des mauvais perdants, qui brandit le déni comme un étendard et la mauvaise foi comme un bouclier.

Car le mauvais perdant ne s'avoue jamais battu ! Devant l'évidence et la sanction du résultat, il refuse de renoncer à sa certitude d'être le meilleur. L'esprit chagrin, le corps brûlant de déception et, il faut bien le dire, la raison en berne, le mauvais perdant balance parfois tout et n'importe quoi. Au mieux de sa (mé)forme, il nous emmène sur un drôle de terrain : s'il a échoué, juré craché, il n'est pas responsable. C'est le cheval, trop court sur pattes pour ses jambes trop longues ; c'est le ramasseur de balle, trop lent ; la nourriture empoisonnée, la pluie qui tombe, le vent qui souffle, l'herbe trop haute ou le gazon trop sec ; c'est le ballon, trop bondissant ; c'est la génétique qui l'a fait trop chétif ; c'est les fantômes qui hantent les chambres d'hôtel, les grenouilles qui font du bruit ; les chaussettes trop rêches, un slip trop petit...

La mauvaise foi est internationale, elle touche les vedettes (Antoine Griezmann, José Mourinho, Renaud Lavillenie, Deontay Wilder...), et concerne tous les sports, du football au cricket, en passant par le tennis, la boxe, le billard ou le lancer de fléchettes.

Une fois n'est pas coutume, saluons donc les laissés-pour-compte de la gloire, les cocus de la compétition, les battus d'un souffle ou les vaincus à plate couture, les malchanceux et les mal en point.
Avis libraires et clients

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