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les mains d'Isis

Frédéric Ohlen (Auteur)
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Résumé

Tous les hommes, on le sait, sont hantés par le Temps. Odi quod facit, sed facit quod sum, « Je hais ce qu'il fait, mais il fait ce que je suis », écrivait déjà Frédéric Ohlen dans la Peau qui marche (1999).
Dans la ruée ou à mi-voix, de Vanuatu jusqu'à Rome, sur les collines de Sendai ou dans les rues de Raïatea, la Mort est là, en filigrane ou triomphante. Hymne à la vie qui va et demeure, les quarante-deux poèmes du livre se ... Lire la suite
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Biographie

Frédéric Olhen, né en 1959 en Nouvelle-Calédonie, où il vit, est un auteur bien ancre? dans le Pacifique. Homme de coeur et d'action, de musiques et de rythme, il cre?e plusieurs prix littéraires et fonde une maison d'e?dition : L'Herbier de Feu. Officier des Arts et Lettres, écrivain engagé, Frédéric Ohlen devient le pre?sident de la Maison du Livre. Invite? par des villes, des i^les, et même a` la Come?die-Franc?aise, il a été laure?at du prix Popai? pour ses poèmes, La Lumie`re du monde (2005), et pour Quintet (2014), son premier roman.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution03/03/2016
CollectionContinents Noirs
EAN9782070149834
Nb. de Pages368
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids362 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,7 cm x 14,0 cm x 2,3 cm
Détail

Tous les hommes, on le sait, sont hantés par le Temps. Odi quod facit, sed facit quod sum, « Je hais ce qu'il fait, mais il fait ce que je suis », écrivait déjà Frédéric Ohlen dans la Peau qui marche (1999).
Dans la ruée ou à mi-voix, de Vanuatu jusqu'à Rome, sur les collines de Sendai ou dans les rues de Raïatea, la Mort est là, en filigrane ou triomphante. Hymne à la vie qui va et demeure, les quarante-deux poèmes du livre se présentent comme le moyen ultime de la prédire et de la saisir, de la deviner - puis de s'en défaire.
Car le poète avance « un lotus dans les carotides ».
On ne naît pas, on ne s'éveille pas par accident, assure-t-il.
Nos vies ont un sens, en dépit des séismes.
Écrire, donc, mais a fresco, sur le vif. Rassembler les fragments épars. Recoller au corps. Pour retrouver, loin des « pluies de colère », sang et chair sur les restes de notre humanité, « obscène dans le feu de son évidence », la beauté.
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