C'est une lectrice encore plus redoutable et avisée que Stefan Bollmann et Laure Adler introduisent dans ce deuxième volume des Femmes qui lisent, tout en poursuivant l'exploration du thème de la lecture féminine et de sa représentation. La lecture de romans, méprisée par les hommes et considérée par eux comme une perte de temps, commence à porter ses fruits pour les femmes. Des siècles durant, leur addiction à la lecture a été blâmée parce qu'elle était considérée comme une activité désordonnée, manquant de discernement, les ... Lire la suite
Historienne, journaliste, ancien conseiller culturel de François Mitterrand, Laure Adler
a animé « Le Cercle de minuit » sur France 2. Elle est aussi l'auteur de documents,
dont La Vie quotidienne dans les maisons closes (Hachette, 1990), Les Femmes
politiques (Seuil, 1993) et dernièrement, Les femmes qui aiment sont dangereuses,
chez Flammarion.
Stefan Bollmann est l'auteur de deux best-sellers, Les femmes qui lisent sont dangereuses et Les femmes qui écrivent sont dangereuses, traduits dans 16 langues.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
15/10/2011
Collection
Histoire De L'art Flammarion
EAN
9782081261372
Nb. de Pages
136
Caractéristiques
Editeur
Flammarion
Poids
920 g
Présentation
Grand format
Dimensions
24,5 cm x 17,5 cm x 1,5 cm
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Livre numérique
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Détail
C'est une lectrice encore plus redoutable et avisée que Stefan Bollmann et Laure Adler introduisent dans ce deuxième volume des Femmes qui lisent, tout en poursuivant l'exploration du thème de la lecture féminine et de sa représentation. La lecture de romans, méprisée par les hommes et considérée par eux comme une perte de temps, commence à porter ses fruits pour les femmes. Des siècles durant, leur addiction à la lecture a été blâmée parce qu'elle était considérée comme une activité désordonnée, manquant de discernement, les incitant à négliger d'abord leurs tâches domestiques, puis leurs devoirs publics : en d'autres termes, c'était une activité immorale, impudique et dépravée. Les femmes qui lisaient non seulement se mettaient en danger, mais elles étaient dangereuses. En réalité, par leur désir effréné de lecture, elles ont acquis une grande connaissance des hommes et une subtile intelligence de la vie.
Paisible dans un intérieur bourgeois sous le pinceau de Gustave Caillebotte, solitaire dans l'entrée d'un hôtel chez Edward Hopper, dénudée chez Félix Valloton, la femme, un livre à la main, se pose en militante. De courtes notices incisives accompagnent une très belle sélection de peintures, dessins et photographies présentant des lectrices de toutes les conditions et de toutes les époques.
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