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les barbares

Maxime Gorki, Eric Lacascade (Auteur)
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Résumé

Adaptation d'après la traduction d'André Markowicz.

Deux ingénieurs arrivent à Verkhopolié, lointaine province oubliée par la culture et le progrès, pour installer le chemin de fer. Agissant comme des révélateurs, ils vont agiter les vagues de la vulgarité de l'âme humaine. Les intrigues se nouent, se côtoient, se croisent, progressent, se perdent, et parfois se résolvent. Elles sont toutes teintées de pouvoir, de passion, de pulsions, sombres souvent. On pourrait se croire chez Tchekhov admiré par Gorki et avec qui il entretint une correspondance ... Lire la suite
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Biographie

Alekseï Maksimovitch Pechkov (1868-1936), élevé dans la pauvreté, exerça de nombreux petits métiers avant de se consacrer, à partir des années 1890, à l'écriture sous le pseudonyme de Gorki, l'« amer ». Romancier des vagabonds et des déclassés, ses idées révolutionnaires le conduisirent en prison, puis à l'exil à diverses reprises. Auteur de romans (dont le plus connu est La Mère), de contes, de nouvelles et de pièces de théâtre (dont Les Bas-Fonds, adapté au cinéma par Jean Renoir et Akira Kurosawa), il s'éteignit en URSS, qu'il avait regagnée en 1929.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution10/06/2006
CollectionAdaptations Theatrales
EAN9782846811712
Nb. de Pages160
Caractéristiques
EditeurSolitaires Intempestifs
Poids80 g
PrésentationGrand format
Dimensions17,5 cm x 11,0 cm x 1,0 cm
Détail

Adaptation d'après la traduction d'André Markowicz.

Deux ingénieurs arrivent à Verkhopolié, lointaine province oubliée par la culture et le progrès, pour installer le chemin de fer. Agissant comme des révélateurs, ils vont agiter les vagues de la vulgarité de l'âme humaine. Les intrigues se nouent, se côtoient, se croisent, progressent, se perdent, et parfois se résolvent. Elles sont toutes teintées de pouvoir, de passion, de pulsions, sombres souvent. On pourrait se croire chez Tchekhov admiré par Gorki et avec qui il entretint une correspondance régulière, mais on sent passer le souffle de Dostoïevski. Une grande pièce digne d'un roman aux accents crépusculaires qui ne donne pas de réponse quant à son étrange titre : Les Barbares, qui sont-ils? La mesquine société de Verkhopolié ou les étrangers porteurs de « lendemains radieux » ?
É. Lacascade.
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