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le feu ; journal d'une escouade

Henri Barbusse, Olivier Cosson (Auteur)
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Résumé

« La bise me souffle dans la figure. Rien ne bouge, que le vent qui passe et que l'immense humidité qui s'égoutte. Il fait froid à frissonner sans fin. Je lève les yeux : je regarde ici, là.
Un deuil épouvantable écrase tout. J'ai l'impression d'être tout seul, naufragé, au milieu d'un monde bouleversé par un cataclysme. » Prix Goncourt 1916, Le Feu est un chef-d'oeuvre de la littérature de guerre, le premier témoignage réaliste publié sur le vécu des troupes au front. Il provoqua, ... Lire la suite
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Biographie

Henri Barbusse aurait pu ne pas faire cette guerre : en effet, en 1914, il avait 41 ans, des problèmes de santé et... de fortes convictions antimilitaristes.
Pourtant, il s'engage, volontairement, pour, écrit-il au directeur de L'Humanité,
servir ses idées en prenant les armes et anéantir les « ennemis infâmes de toujours : le militarisme et l'impérialisme, le Sabre et la Botte ». À son retour, il adhérera au Parti communiste et, en 1933, présidera le mouvement
pacifiste et anti-fasciste Amsterdam Pleyel.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution10/10/2012
CollectionPetite Bibliothèque Payot
EAN9782228908054
Nb. de Pages460
Caractéristiques
EditeurPayot
Poids222 g
PrésentationPoche
Dimensions17,0 cm x 11,0 cm x 2,4 cm
Détail

« La bise me souffle dans la figure. Rien ne bouge, que le vent qui passe et que l'immense humidité qui s'égoutte. Il fait froid à frissonner sans fin. Je lève les yeux : je regarde ici, là.
Un deuil épouvantable écrase tout. J'ai l'impression d'être tout seul, naufragé, au milieu d'un monde bouleversé par un cataclysme. » Prix Goncourt 1916, Le Feu est un chef-d'oeuvre de la littérature de guerre, le premier témoignage réaliste publié sur le vécu des troupes au front. Il provoqua, lors de sa parution, un immense choc, d'autant plus grand qu'il ne renvoyait pas seulement au pacifisme intellectuel d'un Romain Rolland ou d'un Stefan Zweig (lequel publia aussitôt un article louangeur sur le roman de Barbusse), mais aussi et surtout au pacifisme des poilus. Avec ce livre, ce sont les héros, ceux-là mêmes qui sont au feu, qui réclament que s'arrête la descente aux enfers.
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