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La mort de l'Etat-providence ; vive les assurances sociales !

Arnaud Robinet, Jacques Bichot (Auteur)
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Résumé

Obèse, mal organisé, provoquant un gigantesque déficit public, l'Etat providence asphyxie l'économie et propulse le chômage vers des sommets. Il est à bout de souffle. La destruction créatrice doit faire son oeuvre : en le remplaçant par de vraies assurances sociales, comme la médecine moderne a été substituée à celle de Diafoirus, nous disposerons de meilleurs services de sécurité sociale, qui dynamiseront la production et l'emploi au lieu de les étouffer.
Construire de vraies assurances sociales c'est rompre avec d'énormes erreurs, et particulièrement avec ... Lire la suite
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Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution03/10/2013
CollectionEntreprises & Societe
EAN9782251449067
Nb. de Pages182
Caractéristiques
EditeurManitoba
Poids298 g
PrésentationGrand format
Dimensions24,0 cm x 16,0 cm x 1,4 cm
Détail

Obèse, mal organisé, provoquant un gigantesque déficit public, l'Etat providence asphyxie l'économie et propulse le chômage vers des sommets. Il est à bout de souffle. La destruction créatrice doit faire son oeuvre : en le remplaçant par de vraies assurances sociales, comme la médecine moderne a été substituée à celle de Diafoirus, nous disposerons de meilleurs services de sécurité sociale, qui dynamiseront la production et l'emploi au lieu de les étouffer.
Construire de vraies assurances sociales c'est rompre avec d'énormes erreurs, et particulièrement avec le mensonge qui fait de nos cotisations vieillesse la cause de nos droits à pension. Les retraites se préparent en fait en investissant dans la jeunesse. La loi s'est déconnectée de la réalité ; il faut la reconnecter. Imaginons le jour où l'Education nationale et les prestations familiales ne seront plus financées par des impôts et des cotisations qui ne rapportent rien à ceux qui les paient, mais par une contribution jeunesse créatrice de droits à pension : nous cesserons de crouler sous les prélèvements obligatoires sans contrepartie.
Le mensonge vit en symbiose avec la bureaucratie ; la vérité permet l'échange. Quand un échange non marchand aura remplacé les "droits à" et les prélèvements obligatoires sans contrepartie, outils de l'Etat providence, la protection sociale deviendra partie intégrante de l'économie d'échange, qui sera composé de deux moitiés complémentaires : l'échange solidaire et le marché. La condition la plus importante pour un retour à la croissance sera enfin réalisée.
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