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la lagune de Venise

Francois De Crecy, Frédéric Vitoux (Auteur)
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Résumé

François de Crécy nous le prouve ¡ri avec une érudition tendre et magistrale à la fois, aux allures de confidences : le vrai Vénitien, le véritable amoureux de la Sérénissime, est d'abord l'homme qui chérit la lagune de Venise, qui a compris que tout partait de là, que tout s'éclairait là, que tout se justifiait là, que Venise n'aurait jamais existé, la puissance de Venise, l'indépendance de Venise, la peinture de Venise, la lumière de Venise, la musique de Venise, bref le génie de Venise, ... Lire la suite
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Biographie

Né en 1944, Frédéric Vitoux est romancier, essayiste. Il a récemment publié, aux Editions Fayard, Clarisse, Grand HÎtel Nelson, Jours inquiets dans l'Ile-Saint-Louis, Voir Manet, Les Désengagés, et, en coédition avec les Editions Plon, Le Dictionnaire amoureux des chats.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution08/12/2016
EAN9782372710527
Nb. de Pages98
EditeurVia Romana
Caractéristiques
Poids155 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 14,8 cm x 0,9 cm
Détail

François de Crécy nous le prouve ¡ri avec une érudition tendre et magistrale à la fois, aux allures de confidences : le vrai Vénitien, le véritable amoureux de la Sérénissime, est d'abord l'homme qui chérit la lagune de Venise, qui a compris que tout partait de là, que tout s'éclairait là, que tout se justifiait là, que Venise n'aurait jamais existé, la puissance de Venise, l'indépendance de Venise, la peinture de Venise, la lumière de Venise, la musique de Venise, bref le génie de Venise, sans le miracle de ce croissant lagunaire de 80 kilomètres de long, et de quelques kilomètres de large en moyenne, fait d'eau douce et d'eau salée, cet écosystème unique au monde, où la terre affleure si souvent en une myriade de petites îles parfois inondées quand sévit I acqua alta François de Crécy est le guide incomparable, il retient son souffle, il écrit juste oomme s'il avait peur de déranger les fantômes qui hantent San Lazzaro degli Armeni, San Clemente ou les îles aujourd'hui disparues d'Ammiana ou de Costanziaca, ou qu'il redoutait que ne s'envolent les aigrettes au dessus des jardins potagers de Sant'Erasmo.
Autant dire qu'on l'accompagne, d'une page à l'autre, d'une île à l'autre, des plus peuplées (La Giudecca, le Lido) aux plus désertes (San Secondo, Sant'Andrea) avec une infinie reconnaissance. On éprouve un peu le sentiment de mériter Venise et d'en devenir, à sa suite, un citoyen, de coeur et d'intelligence.
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