class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

La Jérusalem d'or

Charles Reznikoff (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

La Jérusalem d'or est le livre de réconciliation des identités juives et américaines de Charles Reznikoff. Entre évocations quotidiennes, chant biblique et conclusion philosophique, le recueil, porté par l'écriture objectiviste caractéristique de l'auteur, semble tendu entre lieu et histoire, entre Manhattan et Jérusalem. Pas d'exil ici, mais des rues étranges. Au milieu des vieux journaux abandonnés, des boîtes de conserves, des chewing-gums, des emballages, Reznikoff cristallise une vision de l'origine et de la modernité, dans un jeu de visions sousjacentes.
L'origine remonte de toute chose, ... Lire la suite
197,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Biographie

Charles Reznikoff (1894-1976) est l'une des grandes figures de la poésie américaine du vingtième siècle. Il fait partie des poètes qui, à partir des années trente aux États-Unis, et sous le parrainage de William Carlos Williams, sont à l'origine du mouvement objectiviste, avec Louis Zukofsky, George Oppen et Carl Rakosi.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution05/10/2018
CollectionPoesie Unes
EAN9782877041959
EditeurUnes
Caractéristiques
Poids110 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 15,1 cm x 0,7 cm
Détail

La Jérusalem d'or est le livre de réconciliation des identités juives et américaines de Charles Reznikoff. Entre évocations quotidiennes, chant biblique et conclusion philosophique, le recueil, porté par l'écriture objectiviste caractéristique de l'auteur, semble tendu entre lieu et histoire, entre Manhattan et Jérusalem. Pas d'exil ici, mais des rues étranges. Au milieu des vieux journaux abandonnés, des boîtes de conserves, des chewing-gums, des emballages, Reznikoff cristallise une vision de l'origine et de la modernité, dans un jeu de visions sousjacentes.
L'origine remonte de toute chose, en toute chose animée de sous la terre, qui porte en elle la mémoire des matériaux qui la fondent. L'attention du poème est à la présence du monde, aux gouttelettes du monde, au scarabée silencieux. Dans cette Amérique du début du XXè siècle, soudain les voitures, les usines, le métro, sont un arrière plan. Reznikoff porte son regard sur les arbres, la densité des feuillages, sur les pétales dans l'air, le ciel bleu, les miroitements du soleil sur l'eau au milieu du vacarme des rues. Tout ce qui est en vie entre le passage des humains. Dans un geste qui efface la ville, ou qui en renverse la domination, le poème s'attarde sur un oiseau sautillant seul dans la rue déserte avant de s'envoler. C'est une quête de la permanence dans le cycle du vivant. Dans la mort et le refleurissement. L'irruption du fabuleux, dans ce cheval qui traverse au milieu de la circulation, comme une émanation de légende. Le merveilleux des contes toujours renouvelé, en quête profonde de simplicité, une célébration du monde au coeur du béton.
Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note