« Pour bien se comprendre, il faut d'abord se cogner un peu... » Jean Jaurès, La Dépêche, 14 octobre 1888. En 1906, la gauche est confirmée par les élections. Le radical Clemenceau, ministre de l'Intérieur, et le socialiste Jaurès s'affrontent alors à la Chambre, sur le passé - Jaurès reproche à Clemenceau la manière dont il a géré les grèves ouvrières - et sur l'avenir - Clemenceau fait à Jaurès un procès en naïveté politique. Un siècle plus tard, l'historien Gilles Candar et Manuel Valls, ... Lire la suite
« Pour bien se comprendre, il faut d'abord se cogner un peu... » Jean Jaurès, La Dépêche, 14 octobre 1888. En 1906, la gauche est confirmée par les élections. Le radical Clemenceau, ministre de l'Intérieur, et le socialiste Jaurès s'affrontent alors à la Chambre, sur le passé - Jaurès reproche à Clemenceau la manière dont il a géré les grèves ouvrières - et sur l'avenir - Clemenceau fait à Jaurès un procès en naïveté politique. Un siècle plus tard, l'historien Gilles Candar et Manuel Valls, député-maire d'Evry, ont ravivé dans un échange de vues que nous reproduisons ici les cendres de ce débat inextinguible : comment et pourquoi la gauche doit-elle exercer le pouvoir ?
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