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la fin de tout

Jay Mcinerney (Auteur)
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Résumé

« Alex recommençait à fumer chaque fois qu'il perdait une femme. Quand il tomberait de nouveau amoureux, il s'arrêterait. Et quand l'amour serait mort, il rallumerait une cigarette. C'était pour partie une réaction physique au stress ; pour partie, une métaphore - la substitution d'une accoutumance à une autre. Et la mythologie entrait pour beaucoup dans ce réflexe. Il se complaisait à cette image romantique de lui-même, silhouette solitaire sur un pont dans une ville étrangère, la cigarette au creux de la main, le blouson ... Lire la suite
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Biographie

Né en 1955, Jay McInerney vit à New York. Il est l'un des auteurs incontournables de la nouvelle génération américaine "brat pack", aux côtés de Bret Easton Ellis. La plupart de ses ouvrages sont disponibles en Points.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution24/09/2004
CollectionPoints
EAN9782020685306
Nb. de Pages215
Caractéristiques
EditeurPoints
Poids130 g
PrésentationPoche
Dimensions18,0 cm x 10,8 cm x 0,1 cm
Détail

« Alex recommençait à fumer chaque fois qu'il perdait une femme. Quand il tomberait de nouveau amoureux, il s'arrêterait. Et quand l'amour serait mort, il rallumerait une cigarette. C'était pour partie une réaction physique au stress ; pour partie, une métaphore - la substitution d'une accoutumance à une autre. Et la mythologie entrait pour beaucoup dans ce réflexe. Il se complaisait à cette image romantique de lui-même, silhouette solitaire sur un pont dans une ville étrangère, la cigarette au creux de la main, le blouson de cuir
ouvert aux éléments. »
La fin de tout : dix nouvelles où l'on retrouve le brio de Jay McInerney.
Par exemple, celle dont le héros, un Américain de passage à Paris, se fait draguer outrageusement par une jeune femme lors d'une soirée, sous les yeux du petit ami de l'allumeuse, qui l'a pris pour une célébrité. Au matin, il ne restera plus au narrateur qu'à se demander pour qui il a été pris.
Ou encore « Le Business », qui met en scène un jeune auteur ambitieux attiré par le miroir aux alouettes de Hollywood. Il n'en retirera que du chagrin, de l'argent et des désillusions.
On pense à Fitzgerald, bien sûr, pour la légèreté et le désenchantement. Mais aussi à des écrivains plus sombres, comme Truman Capote et Nathanael West. McInerney a gardé intacts ses talents, son esprit et son sens du dialogue. Avec, en plus, une sorte d'inquiétude diffuse, reflet de cette fin de siècle incertaine et de désastres à venir. Jay McInerney incarne, avec Bret Easton Ellis, une littérature américaine désinvolte et élégante.
Avis libraires et clients

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