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La femme, la lettre et l'image

Anita Izcovich (Auteur)
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Résumé

Qu'est-ce qu'une femme ? Cet ouvrage se propose d'aborder cette question dans une réciprocité d'éclairages entre la psychanalyse et les champs connexes qui marquent la civilisation, plus particulièrement la chirurgie esthétique et la mode.
Si la femme est parfois amenée à prêter son corps au chirurgien, elle le prête aussi au discours de la mode pour qu'il lui dicte comment conjuguer son être dans son vêtement et son étoffe subjective. Il s'agira alors d'interroger le style des femmes qui ont créé leur propre maison de ... Lire la suite
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Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution10/04/2016
CollectionResonances
EAN9791095543015
Nb. de Pages392
Caractéristiques
EditeurStilus
Poids480 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,5 cm x 14,0 cm x 3,1 cm
Détail

Qu'est-ce qu'une femme ? Cet ouvrage se propose d'aborder cette question dans une réciprocité d'éclairages entre la psychanalyse et les champs connexes qui marquent la civilisation, plus particulièrement la chirurgie esthétique et la mode.
Si la femme est parfois amenée à prêter son corps au chirurgien, elle le prête aussi au discours de la mode pour qu'il lui dicte comment conjuguer son être dans son vêtement et son étoffe subjective. Il s'agira alors d'interroger le style des femmes qui ont créé leur propre maison de haute couture, que ce soit Jeanne Lanvin ou Coco Chanel : comment ont-elles donné la texture d'une image à ce qui ne peut se dire de la femme ?
Ce parcours conduit à explorer ce qui constitue l'acte créateur de l'actrice au théâtre et au cinéma. Sarah Bernhardt situait l'excentricité de sa création sur la frontière entre la vie et la mort, ne serait-ce que quand elle apprenait ses rôles dans son élégant cercueil d'argent. Maria Casarès a produit l'éclat de la beauté de son acte théâtral dans un exil d'elle-même et la fissure du semblant. Quant à Marlène Dietrich, elle se donnait des airs de femme en se faisant absente à elle-même. Et si Marilyn Monroe a donné une telle puissance à une image qui jaillissait de la coupure de son être, c'est en cela qu'elle a sans doute incarné, au plus haut point, la lettre morte et la femme qui n'existe pas.
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