Nous connaissons depuis quarante ans un déficit structurel de notre balance des paiements, l'État accumule des déficits qui atteignent aujourd'hui une somme stratosphérique de près de 3 000 milliards d'euros, qui nous rend esclaves des banques car les trois quarts de l'impôt sur le revenu ne servent qu'à payer les seuls intérêts de la dette.
La droite n'a pas pris le temps de reconsidérer cette idée de revenu universel dans sa globalité. Or, elle peut être le formidable moyen de réformer en douceur et en ... Lire la suite
Nous connaissons depuis quarante ans un déficit structurel de notre balance des paiements, l'État accumule des déficits qui atteignent aujourd'hui une somme stratosphérique de près de 3 000 milliards d'euros, qui nous rend esclaves des banques car les trois quarts de l'impôt sur le revenu ne servent qu'à payer les seuls intérêts de la dette.
La droite n'a pas pris le temps de reconsidérer cette idée de revenu universel dans sa globalité. Or, elle peut être le formidable moyen de réformer en douceur et en profondeur notre pays, pour peu que l'on lui associe des réformes structurelles, économiques et sociales fondamentales.
Cet essai propose de régler une fois pour toutes la question de la dette publique en la faisant convertir pour capitaliser une société d'économie mixte qui financerait la transition écologique.
Facile à lire, l'auteur propose au lecteur de s'approprier le projet pour que des mouvements politiques en reprennent les termes.
L'auteur, avocat de profession, est un libre penseur éclectique, passionné d'économie et de toutes les expressions du génie humain.
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