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la Cour de cassation et l'abolition de l'esclavage

Pierre Chevalier, Catherine Delplanque, Peimane Ghaleh-Marzban, Christiane Taubira (Auteur)
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Résumé

L'objectif de ce colloque est d'aborder le rôle de la Cour de cassation, à travers sa jurisprudence dans le processus d'abolition de l'esclavage, notamment aux Antilles françaises.
Préface de Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice L'objectif de ce colloque est d'aborder le rôle de la Cour de cassation, à travers sa jurisprudence dans le processus d'abolition de l'esclavage, notamment aux Antilles françaises.
En mars 1685, un édit royal, inspiré du droit romain, instaure le cadre et les principes juridiques ... Lire la suite
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Biographie

Christiane Taubira, ancienne ministre de la Justice et garde des Sceaux, a déjà publié de nombreux ouvrages qui ont remporté un vif succÚs, dont Gran Balan, Nuit d'épine et Ces morceaux de vie. comme carreaux cassés.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution22/10/2014
CollectionThèmes Et Commentaires
EAN9782247118540
Nb. de Pages220
Caractéristiques
EditeurDalloz
Poids378 g
PrésentationGrand format
Dimensions23,7 cm x 15,8 cm x 1,3 cm
Détail

L'objectif de ce colloque est d'aborder le rôle de la Cour de cassation, à travers sa jurisprudence dans le processus d'abolition de l'esclavage, notamment aux Antilles françaises.
Préface de Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice L'objectif de ce colloque est d'aborder le rôle de la Cour de cassation, à travers sa jurisprudence dans le processus d'abolition de l'esclavage, notamment aux Antilles françaises.
En mars 1685, un édit royal, inspiré du droit romain, instaure le cadre et les principes juridiques relatifs à l'esclavage colonial, que la France tolère dans ses colonies depuis le début du XVIIe siècle. Applicable à l'origine aux Antilles françaises, mais étendu au siècle suivant à la Guyane, la Louisiane, et aux îles Maurice et de la Réunion, ce que la pratique appellera le Code noir constituera jusqu'en 1848 la base du droit français de l'esclavage colonial, et par conséquent de la jurisprudence des tribunaux coloniaux, qui sera loin d'en respecter toujours la lettre et l'esprit. Or l'ordonnance royale du 24 septembre 1828, par l'application du Code de procédure civile et du Code de procédure pénale dans les colonies, va ouvrir le champ du contrôle de la Cour de cassation sur les décisions rendues par les cours coloniales. C'est alors avec fermeté que la Cour de cassation va exercer son contrôle sur l'application de la loi et des règlements coloniaux, en tentant d'imposer plus d'humanité et d'impartialité, de concert avec la législation d'inspiration libérale qui s'épanouit sous la Monarchie de Juillet, préparant ainsi l'abolition de 1848.
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