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la chronique criminelle dans la presse du Puy-de-Dôme de 1852 à 1914

Sébastien Soulier, Jean-claude Caron (Auteur)
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Résumé

Le 29 juillet 1881, la loi sur la liberté de la presse marque le point de départ d'un développement sans précédent de la presse écrite en France. Un développement qui amène cette presse à jouer un rôle désormais essentiel dans la vie politique, sociale et culturelle de tous les Français. Très rapidement, la presse du Puy-de-Dôme profite de ce bouleversement institutionnel pour se développer à son tour. Parallèlement au succès des romans feuilletons, la chronique criminelle devient alors un des atouts commerciaux majeurs de cette ... Lire la suite
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Biographie

Professeur émérite d'histoire contemporaine à l'Université Clermont Auvergne, membre honoraire de l'Institut Universitaire de France, Jean-Claude Caron est unspécialiste de l'histoire des violences socio-politiques au XIXe s. Parmi ses publicationsrécentes, Les deux vies du général Foy (1775-1825).Guerrier et législateur (2014) et Simon Deutz, un Judas romantique (2019), chez Champ Vallon. Il a participé à la réédition de l'Histoire de la Révolution française de J. Michelet, dans la Pléiade.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution05/02/2013
CollectionTheses
EAN9782916606682
Nb. de Pages759
Caractéristiques
EditeurInstitut Universitaire Varenne
Poids1222 g
PrésentationGrand format
Dimensions23,7 cm x 15,7 cm x 4,1 cm
Détail

Le 29 juillet 1881, la loi sur la liberté de la presse marque le point de départ d'un développement sans précédent de la presse écrite en France. Un développement qui amène cette presse à jouer un rôle désormais essentiel dans la vie politique, sociale et culturelle de tous les Français. Très rapidement, la presse du Puy-de-Dôme profite de ce bouleversement institutionnel pour se développer à son tour. Parallèlement au succès des romans feuilletons, la chronique criminelle devient alors un des atouts commerciaux majeurs de cette presse écrite devenue populaire, et ce depuis le début des années 1860 et la naissance du Petit Journal. Tous les moyens sont bons pour faire voir à son lectorat. Les dépêches ne suffisent plus, il faut désormais se déplacer, enquêter, s'interroger et révéler, avec ou sans la collaboration des autorités judiciaires. En effet, la criminalité a depuis toujours suscité au sein de la population un éventail d'émotions aussi diverses que la peur, le dégoût, la curiosité, la réprobation et la fascination. En réponse à ces émotions, les révélations et les jugements d'actes criminels sont l'occasion pour la presse de multiplier les éloges ou d'émettre des critiques vis-à-vis du système politique et judiciaire, de s'inquiéter de la déchéance des valeurs morales, de s'effrayer des menaces anarchistes et des monstres tapis dans les ruelles et les champs. Plus que de simples outils d'information et de politisation, les journaux deviennent alors par le biais de leur chronique criminelle le relais des interrogations et des convictions de toute une société
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