Il faut toujours s'étonner qu'avec du dissemblable, les humains puissent produire du semblable, qu'avec de la division, ils puissent produire de l'union.
L'opération d'assemblage de ce qui est composite peut être conduite sous bien des motifs. L'un de ces motifs, qui a cours depuis 2 500 ans au moins, a nom « chose publique ». De choses contrastées, opposées, les humains ont tenté de faire de la « chose publique ». Et ils ont nommé « politique » cet art de faire.
C'est des ressorts ... Lire la suite
Il faut toujours s'étonner qu'avec du dissemblable, les humains puissent produire du semblable, qu'avec de la division, ils puissent produire de l'union.
L'opération d'assemblage de ce qui est composite peut être conduite sous bien des motifs. L'un de ces motifs, qui a cours depuis 2 500 ans au moins, a nom « chose publique ». De choses contrastées, opposées, les humains ont tenté de faire de la « chose publique ». Et ils ont nommé « politique » cet art de faire.
C'est des ressorts de ce « grand art » que ce texte nous entretient. Ces ressorts ne sont pas si nombreux, ni si étranges.
Ils sont, au contraire, familiers, à disposition de chacun et de tous. Ils ont trait au « vide », au « plein », au signe « égal », à la « découpe ». La fable, ici contée, en dévoile la présence et l'efficacité, lorsqu'ils servent la fabrication du « tenir ensemble ».
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