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l'erreur de l'Occident

Alexandre Soljenitsyne (Auteur)
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Résumé

Alexandre Soljenitsyne est né en 1918. Diplômé de Science, il devient officier dans l'Armée rouge. Arrêté et déporté au goulag pour huit ans (il avait critiqué Staline dans une lettre privée), il est réhabilité en 1956. Nikita Khrouchtchev donne l'autorisation de publier Une Journée d'Yvan Denissovitch en 1962, ce qui lui attire une renommée internationale qui exaspère la tyrannie soviétique. Irréductible, Soljénitsyne finit par être interdit de publication en URSS et c'est à l'Ouest que paraissent ses romans, comme Le Premier cercle et Le Pavillon ... Lire la suite
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Caractéristiques

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Date Parution08/11/2006
CollectionLes Cahiers Rouges
EAN9782246094920
Nb. de Pages126
Caractéristiques
EditeurGrasset
Poids112 g
PrésentationPoche
Dimensions19,0 cm x 12,0 cm x 1,0 cm
Détail

Alexandre Soljenitsyne est né en 1918. Diplômé de Science, il devient officier dans l'Armée rouge. Arrêté et déporté au goulag pour huit ans (il avait critiqué Staline dans une lettre privée), il est réhabilité en 1956. Nikita Khrouchtchev donne l'autorisation de publier Une Journée d'Yvan Denissovitch en 1962, ce qui lui attire une renommée internationale qui exaspère la tyrannie soviétique. Irréductible, Soljénitsyne finit par être interdit de publication en URSS et c'est à l'Ouest que paraissent ses romans, comme Le Premier cercle et Le Pavillon des cancéreux. Il obtient le prix Nobel de littérature en 1970. Objet de toutes les vexations et des mesquineries du KGB, il est obligé de se cacher pour écrire et est même l'objet d'une tentative d'assassinat. Il compose le manuscrit de L'Archipel du goulag sur des bouts de papier qu'il enterre dans les jardins de ses amis. La publication du livre en Occident lui vaut d'être déchu de la nationalité soviétique et expulsé en 1974. Soljenitsyne n'est jamais où on l'attend : au lieu de se précipiter dans les bras idéologiques de l'Occident, il en pointe aussitôt les erreurs dans le Discours d'Harvard (1978) et ce célèbre Déclin de l'Occident (1980) où il nous met en garde contre une trop grande complaisance envers les régimes mortifères. « Le communisme ne saurait être enrayé par aucun artifice de la détente ni par aucune négociation : mais uniquement par la force extérieure ou par une désagrégation interne. Il fallait bien que s'arrêtat un jour le recul régulier, inexorable de l'Occident voilà qu'on y est. » Appelant à une résistance de tous les instants contre une URSS qui n'était pas la Russie, ce livre reste une pierre de touche dans l'histoire de la chute intellectuelle du communisme.
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