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L'Affiche rouge

Benoît Rayski (Auteur)
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Résumé

Ils avaient leurs portraits sur les murs de nos villes... Le 21 février 1944, les 23 " terroristes " de l'Affiche rouge, résistants immigrés et communistes, étaient fusillés au Mont Valérien. 80 ans plus tard, jour pour jour, ils entrent au Panthéon dans le sillage des époux Manouchian. Une histoire exemplaire d'engagement, de courage et de valeurs, trop peu connue des Français.
" Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent... " Tous étaient membres des FTP-MOI, l'organisation militaire du Parti communiste pour les ... Lire la suite
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Biographie

Né en 1938 à Paris, Benoît Rayski est journaliste et essayiste. Son père, Adam Rayski, dirigea la section politique des FTP-MOI. Il est l'auteur, notamment, de Comment je suis devenu un sale Français (Le Rocher, 2015) et Fils d'Adam. Nostalgies communistes (Exils éditeur, 2017).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution04/01/2024
CollectionRecits Et Temoignages
EAN9791039204552
Nb. de Pages160
Caractéristiques
EditeurArchipoche
Poids110 g
PrésentationPoche
Dimensions17,9 cm x 10,8 cm x 1,4 cm
Détail

Ils avaient leurs portraits sur les murs de nos villes... Le 21 février 1944, les 23 " terroristes " de l'Affiche rouge, résistants immigrés et communistes, étaient fusillés au Mont Valérien. 80 ans plus tard, jour pour jour, ils entrent au Panthéon dans le sillage des époux Manouchian. Une histoire exemplaire d'engagement, de courage et de valeurs, trop peu connue des Français.
" Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent... " Tous étaient membres des FTP-MOI, l'organisation militaire du Parti communiste pour les étrangers. Des immigrants, certes, venus de Pologne, de Hongrie, de Roumanie, d'Arménie. Mais des hommes qui chérissaient la France. Le 21 février 1944, ils tombèrent au Mont-Valérien sous les balles de l'occupant. La seule femme du groupe, Olga Bancic, fut exécutée à Stuttgart trois mois plus tard.
Diffusée par la propagande nazie en France, une affiche rouge sang exhibait les visages " noirs de barbe et de nuit " de cette prétendue " armée du crime ". Du combat héroïque de ces résistants, Aragon fit un poème que sublima la musique de Léo Ferré.
Le récit de Benoît Rayski évoque leur milieu d'origine : le XIe arrondissement de Paris, un quartier populaire marqué par l'immigration juive et les idéaux communistes, les bals du 14-Juillet et l'apprentissage du yiddish après l'école. Tout un monde englouti, empreint de chaleur, de courage et de générosité, où brillent à jamais les noms de Missak et Mélinée Manouchian.
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