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Justice & cinéma

Hugues Dayez (Auteur)
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Résumé

Ce livre s'adresse bien sûr aux gens de justice, mais aussi à tous ceux que préoccupe la justice et qui sont désireux d'en percer le mystère. Car si nous avons souvent l'intuition de ce qu'est la justice, nous n'en possédons pas pour autant l'intelligence. C'est donc à la comprendre que l'auteur s'essaie dans cet ouvrage, en utilisant pour ce faire les ressources insoupçonnées que procure le cinéma.. En effet, le septième art a figé sur la pellicule, en une multitude de scènes et de figures, ... Lire la suite
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Biographie

Journaliste culturel, « Monsieur Cinéma » de la RTBF, Hugues Dayez réalise
en 1992 la toute première interview télévisée de l'acteur. Depuis lors,
il a suivi toute sa carrière, nouant une véritable complicité avec l'artiste
namurois. En 2012, il réalise, pour la télévision belge, « l'ami Ben », un long
portrait intime du comédien. Aujourd'hui, il est allé chercher dans ses
archives les enregistrements originaux de l'intégralité de ses entretiens
avec Benoît Poelvoorde. Ce sont ces rencontres, étalées sur près de vingtcinq
ans, qui permettent aujourd'hui de retracer l'étonnant parcours de la
vraie « première star de cinéma » de Belgique.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution14/12/2007
EAN9782874550737
Nb. de Pages200
EditeurAnthemis
Caractéristiques
Poids243 g
PrésentationGrand format
Dimensions22,0 cm x 13,0 cm x 1,2 cm
Détail

Ce livre s'adresse bien sûr aux gens de justice, mais aussi à tous ceux que préoccupe la justice et qui sont désireux d'en percer le mystère. Car si nous avons souvent l'intuition de ce qu'est la justice, nous n'en possédons pas pour autant l'intelligence. C'est donc à la comprendre que l'auteur s'essaie dans cet ouvrage, en utilisant pour ce faire les ressources insoupçonnées que procure le cinéma.. En effet, le septième art a figé sur la pellicule, en une multitude de scènes et de figures, ce qui échappe d'habitude aux spectateurs de la chose judiciaire. Et pour cause : la justice, indissociable du procès par lequel elle advient, est fugace et labile. Une fois le procès achevé, elle-même s'enfuit. De même que la peinture capte l'éternité du paysage, l'image filmée procurerait le moyen d'atteindre à l'essence de cet insaisissable phénomène que l'on nomme justice. Voilà du moins le pari tenté.
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