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Jean-Jacques Rousseau ; la cité et les choses

Denis Faïck (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Les contradictions dans la pensée de Rousseau ont fait surgir d'infinies questions et suscité de nombreux débats.
On a pu soutenir l'unité de son oeuvre ou à l'inverse son impossible harmonie. D'autres ont évoqué une bipolarité où deux mondes idéaux se faisaient face. Qu'on parle de déchirure, de division indépassable ou d'une dialectique qui réconcilie, l'unité de l'oeuvre reste contestable. Les tensions entre l'individu et le citoyen, ou entre la présence des choses et l'imagination, ne cessent d'animer les controverses.
Si Rousseau est l'impossible unité, ... Lire la suite
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Biographie

Denis FAÏCK est maître de conférences à la
faculté de philosophie de l'Institut Catholique de
Toulouse. Il est responsable du laboratoire
Éthique, philosophie et société de la Maison de
la recherche. Il enseigne également à l'Institut
Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
(ISAE) et à l'École de journalisme de Toulouse.
Il est membre associé d'une équipe de
recherche au Centre d'Étude de la Langue et
de la Littérature Françaises des XVIIe et
XVIIIe siècles, Paris-IV Sorbonne. Ce livre est
la deuxième étude qu'il consacre à la pensée
de Rousseau. La première, Le Travail,
anthropologie et politique, essai sur Rousseau,
a été publiée chez Droz, Genève, en 2009.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution23/02/2012
CollectionHistoire
EAN9782708969438
Nb. de Pages128
Caractéristiques
EditeurPrivat
Poids358 g
PrésentationGrand format
Dimensions24,0 cm x 15,0 cm x 1,8 cm
Détail

Les contradictions dans la pensée de Rousseau ont fait surgir d'infinies questions et suscité de nombreux débats.
On a pu soutenir l'unité de son oeuvre ou à l'inverse son impossible harmonie. D'autres ont évoqué une bipolarité où deux mondes idéaux se faisaient face. Qu'on parle de déchirure, de division indépassable ou d'une dialectique qui réconcilie, l'unité de l'oeuvre reste contestable. Les tensions entre l'individu et le citoyen, ou entre la présence des choses et l'imagination, ne cessent d'animer les controverses.
Si Rousseau est l'impossible unité, comment prétendre alors en présenter une ? Comment peut-on dépasser les contradictions les plus manifestes qui semblent s'enraciner dans l'oeuvre ? Peut-être faudrait-il voir, alors, que l'oeuvre de Rousseau propose deux pôles. L'un est l'idéal, l'autre n'est qu'une solution par défaut quand on évolue dans une société dévoyée. En ce sens, une partie de l'oeuvre n'a de sens que parce que l'idéal n'est pas réalisé ; elle n'aurait pas lieu d'être dans le cas contraire.
Cela signifie, en définitive, que l'oeuvre de Rousseau se divise au moins en deux parties, qu'une dialectique qui les unirait est impossible, mais que les contradictions qui les sous-tendent n'en sont pas réellement puisque l'une exclut l'autre.
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