class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

Je n'ai qu'une langue et ce n'est pas la mienne ; des écrivains à l'épreuve

Kaoutar Harchi (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Suffit-il d'écrire dans la langue de Molière pour être  reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l'ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.
Retraçant les carrières de cinq écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem ... Lire la suite
257,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution07/09/2016
EAN9782720215490
Nb. de Pages294
EditeurPauvert
Caractéristiques
Poids410 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,5 cm x 13,5 cm x 2,0 cm
Détail

Suffit-il d'écrire dans la langue de Molière pour être  reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l'ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.
Retraçant les carrières de cinq écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem Sansal), Kaoutar Harchi révèle qu'en plus de ne s'obtenir qu'au prix d'authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers n'est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d'autres critères, d'ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.
Souvent pensée en termes de talent, de don, de génie, la littérature n'est-elle pas, aussi, une question politique ?
Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note