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front populaire, révolution manquée

Daniel Guérin, Barthélémy Schwartz (Auteur)
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Résumé

«A? travers tout le pays, les travailleurs étaient en gre?ve, et ils occupaient les usines. Ils avaient trouvé une nouvelle forme d'action directe : la gre?ve sur le tas. Ils l'avaient choisie eux-me?mes, en dehors et contre la bureaucratie syndicale, parce qu'ils estimaient à juste titre que ce moyen de pression serait plus sensible aux capitalistes que les simples gre?ves d'antan " dans le calme et la dignité ". Au lendemain du 1er mai, passant aux actes, les ouvriers de l'usine Bréguet, au Havre, avaient ... Lire la suite
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Biographie

Barthélémy Schwartz est né à Paris en 1963.

Il a créé avec d'autres la revue avant-gardiste de bande

dessinée Dorénavant (1986-1989), le collectif Ab irato en

1992, puis la revue de critique sociale Oiseau-tempête

(1997-2006). Son parcours se situe entre critique de la

société et création. Il a publié Le Rêveur captif, une

approche poétique du rêve en bande dessinée, paru

chez L'Apocalypse en 2012. Il a également illustré

plusieurs livres.
Du syndicalisme d'action directe au communisme libertaire, en passant par l'anticolonialisme et la libération sexuelle, Daniel Guérin (1904-1988) a été de tous les combats de la gauche révolutionnaire. À la fois militant, essayiste et historien, il est l'auteur d'une vingtaine de livres.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution21/10/2013
CollectionMémoires Sociales
EAN9782748901733
Nb. de Pages496
Caractéristiques
EditeurAgone
Poids534 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 12,0 cm x 2,6 cm
Détail

«A? travers tout le pays, les travailleurs étaient en gre?ve, et ils occupaient les usines. Ils avaient trouvé une nouvelle forme d'action directe : la gre?ve sur le tas. Ils l'avaient choisie eux-me?mes, en dehors et contre la bureaucratie syndicale, parce qu'ils estimaient à juste titre que ce moyen de pression serait plus sensible aux capitalistes que les simples gre?ves d'antan " dans le calme et la dignité ". Au lendemain du 1er mai, passant aux actes, les ouvriers de l'usine Bréguet, au Havre, avaient occupé les ateliers. Latécoe?re à Toulouse, Bloch à Courbevoie avaient suivi l'exemple. Le mouvement avait pris tre?s vite le caracte?re d'une vague de fond. Le pays que Blum s'appre?tait à gouverner n'était déjà plus celui qui, quelques semaines plus to?t, avait porté le Front populaire au pouvoir. Le rapport des forces sociales était renversé. Cette gre?ve générale avait surgi spontanément de la conscience ouvrie?re et elle avait des mobiles élémentaires : la crise économique et les décrets-lois déflationnistes qui avaient durement frappé une partie des salariés. L'unité syndicale enfin scellée, l'arrivée au pouvoir d'un gouvernement populaire ouvraient aux masses paupérisées la perspective d'un changement radical.»

Comme pour tout grand mouvement social, comprendre les raisons de son échec alimente la mémoire des luttes afin d'en tirer les lec?ons. En ce sens, ce livre est un véritable classique de l'histoire sociale du XXe sie?cle.
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