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Ferdinand de Habsbourg (1503-1564)

Claude Michaud (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Il est parfois difficile d'être le cadet d'un grand homme ! Ferdinand de Habsbourg apparaît trop souvent dans l'ombre de son aîné Charles Quint auquel il succéda à la tête du Saint Empire. Or il fut un fondateur : en réunissant les duchés autrichiens et les royaumes de Bohême et de Hongrie, il jeta les bases de cette monarchie d'Europe centrale qui ne succomba qu'en 1918 et fut pendant quatre siècles un élément essentiel de l'équilibre européen. Ferdinand fut aussi, comme roi des Romains puis ... Lire la suite
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Biographie

Claude Michaud est professeur honoraire d'histoire moderne à l'université Paris
1 Panthéon-Sorbonne. Il est spécialiste des finances du clergé, du jansénisme et de la
monarchie des Habsbourg, sur laquelle il a publié une biographie de l'empereur
Ferdinand Ier, frère et successeur de Charles Quint. Son dernier ouvrage, paru en 2020
aux Éditions de la Sorbonne, s'intitule Un jansénisme provincial. L'exemple d'Orléans

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution30/05/2013
CollectionBibliothèque D'Études De L'Europe Centrale
EAN9782745324610
Nb. de Pages392
Caractéristiques
EditeurHonore Champion
Poids660 g
PrésentationGrand format
Dimensions23,5 cm x 15,5 cm x 2,1 cm
Détail

Il est parfois difficile d'être le cadet d'un grand homme ! Ferdinand de Habsbourg apparaît trop souvent dans l'ombre de son aîné Charles Quint auquel il succéda à la tête du Saint Empire. Or il fut un fondateur : en réunissant les duchés autrichiens et les royaumes de Bohême et de Hongrie, il jeta les bases de cette monarchie d'Europe centrale qui ne succomba qu'en 1918 et fut pendant quatre siècles un élément essentiel de l'équilibre européen. Ferdinand fut aussi, comme roi des Romains puis comme empereur, à la tête du Saint Empire, quand la Réforme divisait profondément les princes et les peuples, au risque d'une guerre civile. En négociant les accords d'Augsbourg (1555), il procura à l'Allemagne soixante ans de paix. Cet ouvrage n'a pas pour but de réhabiliter Ferdinand 1er ; les historiens allemands ont réagi fermement au parti pris négativiste de l'historiographie petite-allemande.
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