class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

Des chrétiens et des maures

Daniel Pennac (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

«Un matin, Le Petit a décrété : - Je veux mon papa. Il a repoussé son bol de chocolat et j'ai su, moi, Benjamin Malaussène, frère de famille, que Le Petit n'avalerait plus rien tant que je n'aurais pas retrouvé son vrai père. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d'ailleurs. Après deux jours de jeûne Le Petit était si transparent qu'on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette : - Je veux mon papa.» Lire la suite
75,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Biographie

Né à Casablanca, en 1944, dans une famille de militaires, D. Pennac voyage en Afrique et en Asie mais il passe aussi de nombreuses années en pension avant de présenter une maîtrise de lettres à Nice. Il entre alors dans l'enseignement. Il commence à écrire pour les enfants et à la suite d'un pari, propose Au Bonheur des Ogres à la Série noire. C'est le début des aventures de la famille Malaussène...
Il garde de son enfance une nostalgie du foyer et une tendresse pour la famille d'élection. Si ses écrits sont drôles et pleins d'une imagination débridée, Pennac peut aussi écrire Comme un roman, un chef d'oeuvre de pédagogie active, lucide et enthousiaste. Que l'on songe à cette phrase qui devrait guider tout enseignant :"On ne force pas une curiosité, on l'éveille." La bande dessinée Débauche, qu'il vient de signer avec Tardi, prouve sa conscience sociale et civique, révoltée par le licenciement sauvage, par ce chômeur victime d'un chef d'entreprise corrompu.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution13/01/1999
CollectionFolio
EAN9782070406968
Nb. de Pages96
Caractéristiques
EditeurFolio
Poids62 g
PrésentationPoche
Dimensions17,8 cm x 10,8 cm x 0,6 cm
Détail

«Un matin, Le Petit a décrété : - Je veux mon papa. Il a repoussé son bol de chocolat et j'ai su, moi, Benjamin Malaussène, frère de famille, que Le Petit n'avalerait plus rien tant que je n'aurais pas retrouvé son vrai père. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d'ailleurs. Après deux jours de jeûne Le Petit était si transparent qu'on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette : - Je veux mon papa.»
Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note