Ce livre est à la fois un cours de logique (théorie de la démonstration) et d'épistémologie des « fondements ». Il s'adresse aussi bien aux mathématiciens qu'aux informaticiens, aux philosophes qu'aux physiciens et aux linguistes.
Le premier tome Vers la perfection s'achevait sur la logique linéaire et la distinction entre parfait et imparfait : le parfait renvoie à un monde d'actions où l'on vit dans l'instant loin des vérités pérennes, alors que l'imparfait est le monde de l'infini et de la pérennité, lieu du ... Lire la suite
Journaliste depuis plus de 25 ans pour plusieurs magazines, JeanYves Girard signe ici son troisième livre.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
17/03/2007
EAN
9782705666347
Nb. de Pages
570
Editeur
Hermann
Caractéristiques
Poids
369 g
Présentation
Grand format
Dimensions
21,0 cm x 14,8 cm x 1,7 cm
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Livre numérique
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Détail
Ce livre est à la fois un cours de logique (théorie de la démonstration) et d'épistémologie des « fondements ». Il s'adresse aussi bien aux mathématiciens qu'aux informaticiens, aux philosophes qu'aux physiciens et aux linguistes.
Le premier tome Vers la perfection s'achevait sur la logique linéaire et la distinction entre parfait et imparfait : le parfait renvoie à un monde d'actions où l'on vit dans l'instant loin des vérités pérennes, alors que l'imparfait est le monde de l'infini et de la pérennité, lieu du non-terminé. Alors que la perfection s'analyse sans problème, tous les paradigmes logiques considérés deviennent problématiques hors du mode parfait.
Dans ce second tome Vers l'imperfection, nous interrogeons ce monde imparfait. En particulier, comment postuler la pérennité sans postuler en même temps la pérennité de la pérennité ? Une pérennité non pérenne s'exprime cependant dans les logiques iconoclastes, des systèmes qui font sens sur le papier, mais qu'on a du mal à asseoir : la bonne intuition se trouve finalement du côté de la mécanique quantique et des algèbres d'opérateurs : c'est la géométrie de l'interaction. L'interprétation de l'imperfection suppose la reconnaissance de l'intrication entre sujet et objet : on découvre in fine que la tradition logique a minimisé le rôle du sujet ; paradoxalement, en cherchant des notions objectives, elle est tombée dans le subjectivisme.
Le premier tome s'ouvrait sur l'essentialisme arrogant de Tarski : la vérité est la qualité de ce qui est vrai. Le second tome lui répond en se refermant sur une définition subjective de la vérité, qui tient (enfin) compte de la place prépondérante du sujet dans l'énonciation.
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