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contre Sainte-Beuve ; nouveaux mélanges

Marcel Proust (Auteur)
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Résumé

À la fin de l'automne 1908, Proust rentre de Cabourg épuisé. Depuis longtemps il a renoncé à son oeuvre. Profitant d'un répit que lui laisse sa maladie, il commence un article pour Le Figaro : «Contre SainteBeuve». Six mois plus tard, l'article est devenu un essai de trois cents pages. Conversant librement avec sa mère, l'auteur entrelace, autour d'une réflexion sur Sainte-Beuve, les souvenirs personnels, les portraits d'amis, les impressions de lecture. Voici le château de Guermantes ; voici M. de Quercy et Mme de ... Lire la suite
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Biographie

1871-1922 - Fils d'un médecin réputé, Marcel Proust naît à Paris dans une famille fortunée qui lui assure une vie facile et lui permet de fréquenter les salons mondains.
AprÚs des études au lycée Condorcet, il devance l'appel sous les drapeaux. Rendu à la vie civile, il suit à l'Ecole des Sciences politiques les cours d'Albert Sorel et de Leroy-Beaulieu ; à la Sorbonne ceux de Begson dont l'influence sur son oeuvre sera majeure.
Vers 1900, il part à Venise et se consacre à des questions d'esthétique. Il publie une traduction du critique d'art anglais Ruskin (1904) dont les conceptions le marqueront. AprÚs la mort de ses parents, sa santé se détériore. Il vit en reclus et s'épuise au travail. En 1919, il reçoit le prix Goncourt pour "A l'ombre des jeunes filles en fleurs". Trois ans plus tard, une bronchite l'emporte.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution24/09/1954
CollectionBlanche
EAN9782070252831
Nb. de Pages452
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids497 g
PrésentationGrand format
Dimensions18,5 cm x 11,8 cm x 3,0 cm
Détail

À la fin de l'automne 1908, Proust rentre de Cabourg épuisé. Depuis longtemps il a renoncé à son oeuvre. Profitant d'un répit que lui laisse sa maladie, il commence un article pour Le Figaro : «Contre SainteBeuve». Six mois plus tard, l'article est devenu un essai de trois cents pages. Conversant librement avec sa mère, l'auteur entrelace, autour d'une réflexion sur Sainte-Beuve, les souvenirs personnels, les portraits d'amis, les impressions de lecture. Voici le château de Guermantes ; voici M. de Quercy et Mme de Cardaillac, grands lecteurs de Balzac, mais qui ressemblent à s'y méprendre à Charlus et à Gilberte. Sans le savoir, Proust venait de libérer son génie. Cet extraordinaire document est beaucoup plus qu'un document. Proust ne voulait pas qu'on mît des idées dans un roman. Toutes les analyses qu'il a écartées d'À la recherche du temps perdu, on les trouvera ici. Nerval, Chardin, Balzac, Goethe, Joubert et Chopin sont étudiés en des pages d'une intelligence et d'une sensibilité également profondes. Elles nous confirment ce dont on se doutait déjà : que Proust, le plus grand romancier de son siècle, pourrait bien en être aussi le plus grand critique.
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