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cinémas libertaires au service des forces de transgression et de révolte

Nicole Brenez, Isabelle Marinone (Auteur)
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Résumé

Puisque s'avérait photogénique ce qui bouge, ce qui mue, ce qui vient pour remplacer ce qui va avoir été, la photogénie, en qualité de règle fondamentale, vouait d'office le nouvel art au service des forces de transgression et de révolte. Jean Epstein, Le Cinéma du Diable (1947).Les contributeurs de cet ouvrage, parmi lesquels de nombreux cinéastes et plasticiens, explorent le corpus méconnu des films issus des idéaux libertaires, depuis la lutte armée jusqu'aux pensées de la non-violence. Il décrit la diversité des pratiques inventées par ... Lire la suite
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Biographie

Isabelle Marinone est Maître de Conférence en Histoire du Cinéma à l'Université de Bourgogne-Franche-Comté.
Nicole Brenez est historienne et théoricienne du cinéma, spécialiste des avant-gardes cinématographiques. Depuis 1996, elle est la programmatrice des séances d'avant-garde à la Cinémathèque française. Elle enseigne à l'Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle.
Elle participe à l'édition scientifique de textes de Jean Epstein, Masao Adachi, Edouard de Laurot. Avec Philippe Grandrieux, elle a fondée la collection "il se peut que la beauté ait renforcé notre résolution", série de portraits de cinéastes révolutionnaires oubliés ou négligés par l'histoire du cinéma. Elle a travaillée avec Chantal Akerman, Jean Gabriel Périot, Marylène Negro, Jocelyne Saab, Jean-Luc Godard et Jacques Kebadian.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution08/10/2015
CollectionArts Du Spectacle ; Images Et Sons
EAN9782757409527
Nb. de Pages412
Caractéristiques
EditeurPu Du Septentrion
Poids668 g
PrésentationGrand format
Dimensions24,0 cm x 16,0 cm x 2,5 cm
Détail

Puisque s'avérait photogénique ce qui bouge, ce qui mue, ce qui vient pour remplacer ce qui va avoir été, la photogénie, en qualité de règle fondamentale, vouait d'office le nouvel art au service des forces de transgression et de révolte. Jean Epstein, Le Cinéma du Diable (1947).Les contributeurs de cet ouvrage, parmi lesquels de nombreux cinéastes et plasticiens, explorent le corpus méconnu des films issus des idéaux libertaires, depuis la lutte armée jusqu'aux pensées de la non-violence. Il décrit la diversité des pratiques inventées par les réalisateurs engagés; les formes spécifiques nées de films revendiquant une action concrète, que celle-ci soit d'ordre révolutionnaire, pédagogique ou simplement émancipatrice; les puissances de déplacement, de destruction et de proposition théorique dynamisées par l'esprit anarchiste. Il met en circulation des documents rares ou inédits concernant l'histoire des cinémas libertaires et la parole de certaines de ses figures parmi les plus créatrices, enthousiasmantes, libératrices.
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