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Blanche ou l'oubli

Louis Aragon (Auteur)
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Résumé

«Quand j'ai connu Blanche, elle portait un petit chapeau de feutre, cloche, très enfoncé, d'un feutre extraordinairement tendre, léger, mou, comme si ça lui avait fait quelque chose de coiffer Blanche.
Elle aimait s'habiller en noir, elle s'asseyait d'une façon que n'avait personne, se penchait pour m'écouter, la joue sur la main, le coude sur le genou. Je lui avais dit : "Vous fumez ?", et elle avait éteint sa cigarette, non, c'était pure nervosité. C'est très drôle, cette petite fille, dès la première fois, ... Lire la suite
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Biographie

Louis Aragon, né à Paris en 1897, manifeste trÚs tÃŽt un goût pour l'écriture et effectue une brillante scolarité. En 1917, il rencontre André Breton avec lequel il s'engage dans l'aventure surréaliste. La publication du roman intitulé Le Paysan de Paris (1926) fait de lui un écrivain d'avant-garde. À la fin des années 1920, il s'inscrit au parti communiste et rencontre Elsa Triolet qui deviendra sa femme. Il s'éloigne alors du surréalisme et s'engage dans l'action politique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il entre dans la Résistance et publie clandestinement, aux cÃŽtés de Pierre Seghers, plusieurs recueils de poÚmes. AprÚs la Libération, Aragon poursuit son œuvre romanesque et poétique tout en restant un écrivain engagé. Il meurt à Paris en 1982, douze ans aprÚs la disparition de la compagne qu'il n'a cessé de célébrer.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution18/04/1972
CollectionFolio
EAN9782070367924
Nb. de Pages544
Caractéristiques
EditeurFolio
Poids289 g
PrésentationPoche
Dimensions17,8 cm x 10,8 cm x 2,6 cm
Détail

«Quand j'ai connu Blanche, elle portait un petit chapeau de feutre, cloche, très enfoncé, d'un feutre extraordinairement tendre, léger, mou, comme si ça lui avait fait quelque chose de coiffer Blanche.
Elle aimait s'habiller en noir, elle s'asseyait d'une façon que n'avait personne, se penchait pour m'écouter, la joue sur la main, le coude sur le genou. Je lui avais dit : "Vous fumez ?", et elle avait éteint sa cigarette, non, c'était pure nervosité. C'est très drôle, cette petite fille, dès la première fois, dans un lieu avec de hautes lumières, un café tout en longueur, j'avais une idée tracassante, je ne pensais qu'à une chose, et Dieu sait ce que je pouvais dire !
Les mains m'en tremblaient, j'avais envie d'enlever son manteau, d'ouvrir sa robe... Pourquoi ?»
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