Encensé par ses admirateurs, critiqué parbeaucoup de magistrats, la « Bête noire »des prétoires s'explique pour la première fois.
Non, il n'est pas fasciné par le mal, mais il défend autant la présomption d'innocence que le droit - pour les criminels de tout bord - à une juste peine qui ne varie pas du simple au double d'une cour d'assises à l'autre.
Non, il n'est pas l'ennemi des magistrats, mais il s'interroge sur l'absence de ... Lire la suite
Né le 13 décembre 1963, Stéphane Durand-Souffland est chroniqueur judiciaire au Figaro depuis 2001. Il a été président de l'Association de la presse judiciaire et a déjà écrit deux livres.
Caractéristiques
Caractéristiques
Date Parution
05/04/2012
EAN
9782749916163
Nb. de Pages
240
Editeur
Michel Lafon
Caractéristiques
Poids
350 g
Présentation
Grand format
Dimensions
22,5 cm x 14,0 cm x 2,3 cm
L' article a été ajouté au panier
Livre numérique
Regular PriceSpecial Price
Détail
Encensé par ses admirateurs, critiqué parbeaucoup de magistrats, la « Bête noire »des prétoires s'explique pour la première fois.
Non, il n'est pas fasciné par le mal, mais il défend autant la présomption d'innocence que le droit - pour les criminels de tout bord - à une juste peine qui ne varie pas du simple au double d'une cour d'assises à l'autre.
Non, il n'est pas l'ennemi des magistrats, mais il s'interroge sur l'absence de la notion d'humanité dans leur serment, alors qu'elle figure dans celui des avocats. Car ceux qui lui confient leur destin sont aussi des êtres humains, dont la ligne de vie a parfois de quoi inspirer aux jurés une certaine clémence.
Non, il n'est pas contre l'État, mais il est souvent révolté par le fonctionnement de la Justice. Comme personne ne l'a fait auparavant, il raconte les petits arrangements, les influences et les pièges qui peuvent biaiser un verdict. À travers les anecdotes et les souvenirs édifiants des grands procès d'assises auxquels il a participé, il dresse le portrait d'un système judiciaire implacable, au sein duquel la défense n'est guère que tolérée, même quand elle tente désespérément d'éviter les erreurs judiciaires.
« J'ai décidé de devenir avocat à quinze ans. C'était le 28 juillet 1976 et j'avais entendu à la radio que Christian Ranucci, l'homme du "pull-over rouge", avait été exécuté à l'aube. Ce n'est pas le récit d'une vocation que je fais ici, mais d'une sorte de fatalité. Je suis condamné à plaider. »
En créant un compte sur notre site, vous pourrez passer vos commandes plus rapidement, enregistrer plusieurs adresses de livraison, consulter et suivre vos commandes, et bien d'autres choses.
Se connecter
Créer un nouveau compte