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auprès de Nisargadatta Maharaj ; "je suis seul car je suis tout"

David Godman, Alain Porte (Auteur)
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Résumé

David Godman, à l'occasion d'un entretien improvisé avec son amie Jarriet, est conduit 23 ans après les faits à faire revivre les quatre années (1978-1981) où il a régulièrement rendu visite au «Maître spirituel» Nisargadatta Maharaj, dans la ville de Bombay. L'Inde, on le sait, est féconde en lignées de «Maîtres spirituels», de Gurus, et Maharaj ne déroge pas à cette tradition. Mais il apparaît comme un cas particulier, et probablement unique.
C'était un «être de connaissance» (Djnânî, en sanskrit) tout à fait incandescent. ... Lire la suite
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Biographie

Alain Porte a étudié le sanskrit avec Jean Varenne. Sa rencontre avec Malavika, interprÚte de Bharata Natyam, et fille de Jean Klein, fut l'origine de nombreuses traductions de textes sanskrits, dont Shiva le Seigneur du sommeil (Seuil), la Bhagavad Gîtâ (Arléa), , et le Pañcatantra (Philippe Picquier). La derniÚre en date (mars 2015) est L'éveil de la conscience ou l'illumination de la reine Tchoudâlâ (Dervy). Il a par ailleurs traduit de l'anglais des œuvres d'écrivains indiens contemporains, dont Mes Seuls Dieux, d'Añjana Appachana (Zulma).
David Godman a vécu à (ou proche de) l'ashram de Sri Ramana Maharshi depuis 1976. Il a eu de nombreux contacts avec quelques uns des plus remarquables enseignants Indiens de l'époque moderne comme Nisargadatta Maharaj, Poonja ou Anamalai Svami. Dans les trente derniÚres années il a écrit et publié de nombreux livres sur Ramana Maharshi.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution19/02/2016
EAN9782863162651
Nb. de Pages156
EditeurAccarias-Originel
Caractéristiques
Poids200 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 13,5 cm x 1,4 cm
Détail

David Godman, à l'occasion d'un entretien improvisé avec son amie Jarriet, est conduit 23 ans après les faits à faire revivre les quatre années (1978-1981) où il a régulièrement rendu visite au «Maître spirituel» Nisargadatta Maharaj, dans la ville de Bombay. L'Inde, on le sait, est féconde en lignées de «Maîtres spirituels», de Gurus, et Maharaj ne déroge pas à cette tradition. Mais il apparaît comme un cas particulier, et probablement unique.
C'était un «être de connaissance» (Djnânî, en sanskrit) tout à fait incandescent. De lui émanait une énergie radioactive que les visiteurs, souvent intimidés, percevaient comme celle d'un orateur impétueux, voire irascible, et même agressif. En réalité, son enseignement ne visait qu'une seule chose essentielle : «Planter ses mots directement dans la conscience» de ses visiteurs ou adeptes, et éviter à tout prix de gorger de concepts l'intellect des «chercheurs de vérité».
Au fil de l'entretien, David Godman voir remonter à la surface maints événements noyés dans l'eau dormante de sa mémoire, sans jamais avoir été effleuré par le souci d'en tirer la substance d'un livre de souvenirs. Il nous introduit dans la petite pièce où Maharaj accueillait des visiteurs venus du monde entier, au premier étage de sa maison, dans un quartier populeux de Bombay. Matin et soir avaient des séances de questions-réponses, c'est ce que Maharaj affectionnait le plus.
Le récit de David Godman possède tout à la fois la fraîcheur de l'instant vécu et le recul avisé de l'observateur conquis. Il est témoin fidèle, sans mission d'enquêteur ni réflexe de croyant : une empathie éclairée. Nisargadatta Maharaj semble n'avoir eu qu'une seule et unique préoccupation : faire disparaître la carapace des identités illusoires, pour que chaque individu parvienne à sa vraie nature : la conscience qui ne connaît ni limites ni formes.
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