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au service de l'honneur ; les appariteurs de magistrats romains

Jean-michel David (Auteur)
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Résumé

A Rome, sous la République et au début de l'Empire, les magistrats ne pouvaient exercer leurs responsabilités sans leurs appariteurs. Ils étaient sa voix (hérauts ou praecones), ses huissiers (viatores), ses gardes du corps (licteurs), ses mains et sa mémoire (scribes). Ils entouraient le magistrat et effectuaient les multiples tâches qu'exigeait l'exercice du pouvoir. Ils étaient des hommes libres et des citoyens, au service de la cité qui les rémunérait et les mettait à la disposition des magistrats le temps de leurs fonctions.
La plupart ... Lire la suite
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Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution11/01/2019
CollectionMondes Anciens
EAN9782251448947
Nb. de Pages370
Caractéristiques
EditeurLes Belles Lettres
Poids515 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,5 cm x 1,5 cm x 1,9 cm
Détail

A Rome, sous la République et au début de l'Empire, les magistrats ne pouvaient exercer leurs responsabilités sans leurs appariteurs. Ils étaient sa voix (hérauts ou praecones), ses huissiers (viatores), ses gardes du corps (licteurs), ses mains et sa mémoire (scribes). Ils entouraient le magistrat et effectuaient les multiples tâches qu'exigeait l'exercice du pouvoir. Ils étaient des hommes libres et des citoyens, au service de la cité qui les rémunérait et les mettait à la disposition des magistrats le temps de leurs fonctions.
La plupart d'entre eux étaient ainsi inscrits dans des cadres officiels, des décuries, d'où chaque année était tiré le personnel nécessaire. Ils y gagnaient la reconnaissance d'une compétence et d'une certaine indépendance, d'une dignitas en quelque sorte qui leur valait de se constituer en ordres. Toutefois, les membres de l'aristocratie sénatoriale qui devaient pouvoir compter sur leur fidélité et leur dévouement veillaient à faire recruter leurs dépendants, souvent leurs affranchis. Ainsi, la position qu'ils occupaient avait-elle quelque chose d'étrange : au service à la fois, public, de la cité et, privé, de ses gouvernants.
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