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Atalante à Calydon

Algernon Charles Swinburne, Jean Pavans, Marc Porée (Auteur)
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Résumé

« S'il n'a certes pas la puissance du «rire de laMéduse», tel qu'analysé par Hélène Cixous, dans un texteresté célèbre de 1975, qui lança, en France, la secondevague du féminisme, le rire discret d'Atalante n'en est pasmoins éloquent. Il dit quelque chose du bonheur qu'il y aà se savoir libre de ne pas cultiver les «passions tristes» etde ne pas attacher d'importance à ce qui, au fond, en a sipeu : la virilité, dont les oncles de Méléagre craignent ledélitement, si Atalante était venue à ... Lire la suite
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Biographie

Écrivain et traducteur, Jean Pavans est né le 20 septembre 1949 à Tunis. Après des études de mathématiques (DEA de logique), il publie plusieurs livres à La Différence : Lazare définitif (1980), Ruptures d'innocence (1982), La Griselda (1986), Retour à Florence (1986), Le Sceau brisé (1988), Le Théâtre des sentiments (1991).
Il se lance parallèlement, dès le début des années 80, dans une entreprise raisonnée de traduction de l'œuvre de Henry James, dont le cœur est l'intégrale des Nouvelles. Il a par ailleurs adapté James pour la scène (Les Papiers d'Aspern, Comédie-Française, 2002). Pavans a traduit d'autres classiques anglo-saxons, comme Edith Wharton, Virginia Woolf, Gertrude Stein et Harold Pinter.
La Différence a réédité de lui, en 2007, dans « Minos », Sauna. Un texte inédit, Persée, y est également paru.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution03/05/2024
EAN9782492908286
Nb. de Pages236
EditeurManifeste !
Caractéristiques
Poids186 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,0 cm x 14,0 cm x 1,7 cm
Détail

« S'il n'a certes pas la puissance du «rire de laMéduse», tel qu'analysé par Hélène Cixous, dans un texteresté célèbre de 1975, qui lança, en France, la secondevague du féminisme, le rire discret d'Atalante n'en est pasmoins éloquent. Il dit quelque chose du bonheur qu'il y aà se savoir libre de ne pas cultiver les «passions tristes» etde ne pas attacher d'importance à ce qui, au fond, en a sipeu : la virilité, dont les oncles de Méléagre craignent ledélitement, si Atalante était venue à terrasser, à elle seule,le monstre à front bas. Libre de prendre les choses à lalégère, en faisant montre d'un détachement dont s'avèrentincapables ses frères d'armes, la fine fleur de la jeunessegrecque. Libre, enfin, de ne pas subir les assignationsà résidence génériques, celles qui vous enjoignent de vouscantonner aux fonctions traditionnellement reconnuesà la femme et à la mère. [...] Un élixir de jouvence, donc,à boire sans modération, si l'on veut être au rendez-vousde l'ivresse. »Extrait de la préface de Marc PoréeSe proposant de traiter une captivante légende mythologiquesous la forme d'une tragédie grecque rêvée, traduite dans une sorted'anglais archaïque, Swinburne trouve ainsi, avec Atalante àCalydon, un puissant moyen de déchaîner allégoriquement, enplein puritanisme victorien, les démons les plus intimes et les plusfascinants de son art poétique réputé décadent.
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