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Alina Szapocznikow. Langage du corps

Sophie Bernard, Collectif (Auteur)
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Résumé

Héritière aussi bien du surréalisme que du mouvement pop, la sculptrice polonaise Alina Szapocznikow, née en 1926, rescapée des camps d'extermination nazis et décédée en 1973 d'un cancer du sein, évoque le corps à travers ses sculptures. En centrant ainsi son oeuvre sur le corps humain, elle exprime à travers lui la fragilité de nos existences.

En seulement deux décennies, Szapocznikow élabore son oeuvre sculpturale et graphique avec virtuosité. Par son exploration de nouvelles méthodes sculpturales et l'expérimentation de matériaux nouveaux, tels que la ... Lire la suite
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Biographie

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Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution02/10/2025
CollectionMonographies
EAN9782359064759
Nb. de Pages240
Caractéristiques
EditeurLienart
PrésentationGrand format
Dimensions28,0 cm x 22,0 cm
Détail

Héritière aussi bien du surréalisme que du mouvement pop, la sculptrice polonaise Alina Szapocznikow, née en 1926, rescapée des camps d'extermination nazis et décédée en 1973 d'un cancer du sein, évoque le corps à travers ses sculptures. En centrant ainsi son oeuvre sur le corps humain, elle exprime à travers lui la fragilité de nos existences.

En seulement deux décennies, Szapocznikow élabore son oeuvre sculpturale et graphique avec virtuosité. Par son exploration de nouvelles méthodes sculpturales et l'expérimentation de matériaux nouveaux, tels que la résine de polyester et la mousse de polyuréthane, elle contribue de manière considérable au réexamen de ce médium.

De ses allusions ironiques à la production de masse et à la société de consommation émergent des assemblages de fragments corporels sensuels et troublants. Des moulages de ses lèvres et de sa poitrine constituent des «?lampes érotiques?» ou sont drapés de façon provocante dans des coupes en verre, interrogeant ainsi la place et le rôle de l'artiste femme dans la société des années 1960. Ce rapport direct au corps et à la malléabilité du matériel prend une autre forme dans ses Photosculptures dans lesquelles elle met en scène des objets faits de chewing-gums, modelés directement dans la bouche et photographiés comme des sculptures traditionnelles.

Durant sa maladie, son travail se focalise de plus en plus sur la mémoire, les traumas et la finitude. Elles produit des oeuvres évoquant les tumeurs qui prolifèrent en elle et témoignant de l'inébranlable indépendance, du courage et de la vitalité artistique d'Alina Szapocznikow. C'est seulement quatre décennies après son décès prématuré à 47 ans que son oeuvre, déjà célébrée de son vivant dans son pays d'origine, la Pologne, connaît une reconnaissance internationale méritée.
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