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à quoi servent les politiques de mémoire ?

Sarah Gensburger, Sandrine Lefranc (Auteur)
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Résumé

Nous n'avons jamais autant promu la nécessité de transmettre la mémoire, à l'école, au musée, à la télévision, lors d'une cérémonie, à l'occasion d'un procès, à l'encontre de criminels politiques, ou encore pendant l'audition d'une commission de vérité.
L'ambition de ces politiques mémorielles est de construire une société apaisée, dans une démocratie stable comme dans un pays qui a connu un conflit politique violent.

Des critiques de principe sur le fondement moral ou sur la politisation de ces actions ont été fréquemment portées par ... Lire la suite
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Biographie

Chargée de recherches au CNRS, Sandrine Lefranc est spécialisée dans l'étude des dispositifs de sortie de conflit politique violent (répression étatique, guerre civile) mis en place par des acteurs locaux et internationaux.
Sarah Gensburger est chargée de recherches au CNRS. Auteur de Les Justes de France. Politiques publiques de la mémoire (Presses de Sciences Po, 2010) et de Mémoire vive. Chroniques d'un quartier, Bataclan 2015-2016 (Anamosa, 2017), elle a assuré le commissariat de plusieurs expositions, dont C'étaient des enfants. Déportation et sauvetage des enfants Juifs à Paris, de juin à octobre 2012 à l'Hôtel de Ville de Paris.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution21/09/2017
EAN9782724621259
Nb. de Pages200
EditeurPresses De Sciences Po
Caractéristiques
Poids192 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,0 cm x 12,5 cm x 1,0 cm
Détail

Nous n'avons jamais autant promu la nécessité de transmettre la mémoire, à l'école, au musée, à la télévision, lors d'une cérémonie, à l'occasion d'un procès, à l'encontre de criminels politiques, ou encore pendant l'audition d'une commission de vérité.
L'ambition de ces politiques mémorielles est de construire une société apaisée, dans une démocratie stable comme dans un pays qui a connu un conflit politique violent.

Des critiques de principe sur le fondement moral ou sur la politisation de ces actions ont été fréquemment portées par les historiens. Chercheuses en sciences sociales, Sarah Gensburger et Sandrine Lefranc se sont plutôt interrogées sur leur efficacité. En montrant comment sont reçus les messages mémoriels lorsque des élèves assistent à une commémoration, des individus visitent un mémorial, des victimes témoignent au sein des commissions de vérité ou des criminels sont jugés lors d'un « procès pour mémoire », elles aboutissent au constat regrettable qu'ils ne permettent pas plus de dénouer des conflits qui ont eu lieu dans le passé que d'orienter les comportements individuels dans le futur. Faut-il pour autant renoncer à ce rappel de l'histoire violente ?
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