«Samedi 3 avril. En sortant chercher de l'eau, ce matin, j'ai trouvé devant la porte un oiseau mort, le bec grand ouvert. C'est le manque d'air, a dit Martia. Les pauvres, c'est à peine s'ils peuvent voler. Un vrai temps de tremblement de terre! Les femmes, à la fontaine, répétaient les mêmes mots : "un temps de tremblement de terre! Pas une vague dans le port, pas un soufle de vent." Elles riaient. Personne, à Pompéi, ne redoute les secousses de la terre - elle ... Lire la suite
«Samedi 3 avril. En sortant chercher de l'eau, ce matin, j'ai trouvé devant la porte un oiseau mort, le bec grand ouvert. C'est le manque d'air, a dit Martia. Les pauvres, c'est à peine s'ils peuvent voler. Un vrai temps de tremblement de terre! Les femmes, à la fontaine, répétaient les mêmes mots : "un temps de tremblement de terre! Pas une vague dans le port, pas un soufle de vent." Elles riaient. Personne, à Pompéi, ne redoute les secousses de la terre - elle tremble si souvent! Et depuis dix-sept ans, aucune maison ne s'est effondrée.» Pour partager le journal intime de Briséis, esclave en l'an 79, et affronter avec elle la terrible éruption du Vésuve...
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