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La guerre des mondes

Herbert George Wells (Auteur)
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Résumé

«Je voyais maintenant que c'étaient les créatures les moins terrestres qu'il soit possible de concevoir. Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre et pourvue d'une figure. Cette face n'avait pas de narines - à vrai dire les Martiens ne semblent pas avoir été doués d'un odorat - mais possédait deux grands yeux sombres, au-dessous desquels se trouvait immédiatement une sorte de bec cartilagineux. [...] En groupe autour de la bouche, seize tentacules minces, presque ... Lire la suite
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Biographie

Avec Jules Verne, Herbert George Wells (1866-1946) est un des pères fondateurs de la littérature de science-fiction, dont il abordera, souvent en pionnier, nombre des thèmes fondamentaux : le voyage temporel dans La Machine à explorer le Temps, les manipulations biologiques avec L'Île du Dr. Moreau, les pouvoirs surhumains avec L'Homme invisible ou les
invasions extraterrestres dans La Guerre des Mondes.
Socialiste convaincu, H. G. Wells a cherché dans ses écrits à développer un point de vue moral sur la question du progrès scientifique et technologique. Il a ouvert la voie d'une science-fiction véritablement adulte, donnant au genre certains de ses plus immortels chefs-d'oeuvre.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution09/06/2005
CollectionFolio
EAN9782070308552
Nb. de Pages320
Caractéristiques
EditeurFolio
Poids160 g
PrésentationPoche
Dimensions17,8 cm x 10,8 cm x 2,7 cm
Détail

«Je voyais maintenant que c'étaient les créatures les moins terrestres qu'il soit possible de concevoir. Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre et pourvue d'une figure. Cette face n'avait pas de narines - à vrai dire les Martiens ne semblent pas avoir été doués d'un odorat - mais possédait deux grands yeux sombres, au-dessous desquels se trouvait immédiatement une sorte de bec cartilagineux. [...] En groupe autour de la bouche, seize tentacules minces, presque des lanières, étaient disposés en deux faisceaux de huit chacun. Depuis lors, avec assez de justesse, le professeur Stowes, le distingué anatomiste, a nommé ces deux faisceaux des mains.»
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