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La disparition

Georges Perec (Auteur)
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Résumé

«Trahir qui disparut, dans La disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - un rond pas tout à fait clos finissant par un trait horizontal - , blanc sillon damnatif où s'abîma un Anton Voyl, mais d'où surgit aussi la fiction. Disons, sans plus, qu'il a rapport à la vocalisation. L'aiguillon paraîtra à d'aucuns trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari à moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus ... Lire la suite
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Biographie

Georges Perec (1936-1982), écrivain et verbicruciste français, virtuose de la langue de Molière, fut depuis 1967 l'un des membres majeurs de l'Oulipo. Son premier roman "Les Choses" obtient le prix Renaudot en 1965 et le prix Médicis couronne en 1978 "La Vie mode d'emploi". Pour cet auteur plus que pour tout autre, la créativité naît de la contrainte. Dans "La Disparition" (1969), sidérant lipogramme de 300 pages, le « e » disparu fait écho à la disparition d'« eux », les membres de sa famille exterminés dans l'Holocauste. En 2017, c'est la consécration : son oeuvre entre dans La Pléiade.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution16/05/1989
CollectionL'imaginaire
EAN9782070715237
Nb. de Pages328
Caractéristiques
EditeurGallimard
Poids327 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,2 cm x 12,5 cm x 1,7 cm
Détail

«Trahir qui disparut, dans La disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - un rond pas tout à fait clos finissant par un trait horizontal - , blanc sillon damnatif où s'abîma un Anton Voyl, mais d'où surgit aussi la fiction. Disons, sans plus, qu'il a rapport à la vocalisation. L'aiguillon paraîtra à d'aucuns trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari à moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants. Oui, il fallait un grand art, un art hors du commun, pour fourbir tout un roman sans ça !»Bernard Pingaud.
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