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Bella ciao Tome 3 : Tre

Baru (Auteur)
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Résumé

Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier... En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne. Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent ... Lire la suite
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Biographie

Baru, né en 1947, vient tard à la bande dessinée. Il débute en 1982 dans Pilote, avec des récits complets, et publie, deux ans après, Quéquettes Blues, qui lui vaut l'Alfred 85 du meilleur premier album à Angoulême et le révèle au grand public. En 1985, Dargaud publie La piscine de Micheville, suivi des deuxième et troisième volumes de Quéquette Blues. En 1985 et 1987 paraissent, chez Futuropolis, La communion du mino et Vive la classe. Il réalise alors pour l'Echo des Savanes Cours camarade, puis Le chemin de l'Amérique (Alph'art du meilleur album 1991 à Angoulême, coécrit avec Jean-Marc Thévenet, dont la réedition paraîtra mi septembre 98 chez Casterman), publiés en 1988 et 1990 par Albin Michel. C'est en avril 1995 qu'il publie L'autoroute du soleil chez Kodansha, puis chez Casterman en septembre. Cet album se verra couronné du Prix des libraires spécialisés et de l'Alph'art du meilleur album 1996 au festival d'Angoulême. Suivront chez Casterman en janvier 97, Sur la route encore. et en 98, Bonne année.
En 1999, Baru entame la série "Les années Spoutnik", toujours aux éditions Casterman

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution05/10/2022
EAN9782754833776
Nb. de Pages136
EditeurFuturopolis
Caractéristiques
Poids662 g
PrésentationGrand format
Dimensions27,3 cm x 19,9 cm x 1,3 cm
Détail

Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier... En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne. Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent dans la société française. L'étranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de l'universalité de la question ? Dans troizième tome, Teo, le narrateur, poursuit le récit familial, que ses souvenirs en marabout d'ficelle restituent en autant d'histoires vives et hautes en couleur, tragiques ou comiques. Celle de sa grande frousse quand il allait porter la gamelle à son père au pied des hauts fourneaux, dans le vacarme assourdissant des tuyères et la chaleur étouffante de la coulée. Celle de la «morra», sans doute le jeu de mains le plus vieux du monde, qui se joue à deux et qui, immanquablement, se termine en castagne ! Celle de Domenico, le grand-père de Teo, qui pouvait passer de longs moments, assis sur sa chaise, à contempler l'eau du robinet couler dans l'évier. Celle encore où il est question des garibaldiens de l'Argonne et d'un certain Lazzaro Ponticelli, devenu Lazare après sa naturalisation en 1939, qui fut pendant quelques mois le dernier poilu de 14-18 encore vivant et, à ce titre, reçut l'hommage de la Nation !
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