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Autocritique

Edgar Morin (Auteur)
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Résumé

Publié pour la première fois en 1959, réédité en 1970 puis en 1991 (" Points "), Autocritique reparaît aujourd'hui avec une nouvelle préface.
Entré simultanément, à vingt ans, en résistance et en communisme au moment de la bataille de Stalingrad, Edgar Morin a connu le doute à l'égard du second dès la Libération puis, de déchirements en désillusions, le rejet réciproque en 1951, au moment des procès et des purges de la " deuxième glaciation " stalinienne. Son appartenance au Parti avait duré dix ans, ... Lire la suite
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Biographie

Né à Paris en 1921, d'ascendance judéo-espagnole, Edgar Morin est marqué par la montée du nazisme, les procès de Moscou, la marche vers la guerre. À 20 ans, il entre à la fois au Parti communiste et dans la résistance gaulliste. Après la guerre, il s'engage dans les luttes anticoloniales, brise avec le PCF ("Autocritique", 1959) et publie des études d'ethnosociologie appliquée à la France contemporaine. Directeur de recherches au CNRS, hôte de toutes les universités du monde, il est l'auteur d'ouvrages de sociologie ("La Rumeur d'Orléans", 1969) et de philosophie ("La Méthode", 1981-2006). Parmi les derniers parus : "Mon Paris, ma mémoire" (Fayard, 2013), "Journal 1962-2010" (Seuil, 2012), "Dialogue avec François Hollande" (L'Aube, 2012), "La Voie: Pour l'avenir de l'humanité" (Pluriel, 2012), "Au péril des idées", entretiens avec Tariq Ramadan (Presses du Châtelet, 2014).

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution08/11/2012
CollectionBiographie Seuil
EAN9782021093353
Nb. de Pages304
Caractéristiques
EditeurSeuil
Poids324 g
PrésentationGrand format
Dimensions20,5 cm x 14,1 cm x 2,2 cm
Détail

Publié pour la première fois en 1959, réédité en 1970 puis en 1991 (" Points "), Autocritique reparaît aujourd'hui avec une nouvelle préface.
Entré simultanément, à vingt ans, en résistance et en communisme au moment de la bataille de Stalingrad, Edgar Morin a connu le doute à l'égard du second dès la Libération puis, de déchirements en désillusions, le rejet réciproque en 1951, au moment des procès et des purges de la " deuxième glaciation " stalinienne. Son appartenance au Parti avait duré dix ans, au cours desquels il avait vu comment l'Appareil pouvait faire du même être un brave ou un lâche, un héros ou un monstre, un martyr ou un bourreau. Ce livre est le récit sincère d'une déprise spirituelle.
Dans ce détournement de l'exercice tristement célèbre de confession publique que le pouvoir soviétique exigeait de ceux qu'il voulait museler par tous les moyens, Edgar Morin ne se contente toutefois pas de dénoncer le dévoiement ou l'impasse du marxisme. En élucidant le cheminement personnel qui l'avait conduit à se convertir à la grande religion terrestre du XXe siècle, il restitue le communisme dans sa dimension humaine en montrant comment celui-ci a pu tout à la fois porter et trahir les idéaux et les aspirations de tant de militants.
Ce témoignage, qui est celui d'une génération, est aussi une leçon toujours actuelle de discernement moral et politique.
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