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Pour une poignée de dattes

Albert Bensoussan (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Ce récit en treize séquences plonge dans l'Algérie coloniale et la cohabitation des communautés contrastées.
Un parcours qui fait intervenir un narrateur aux multiples voix et à différents âges, aux prises avec un kaléidoscope d'images éparses : ici la main perdue de la mère fait pénétrer accidentellement le petit enfant juif dans l'intimité d'une famille musulmane, là un mauvais livret scolaire pousse au désespoir un écolier trop imaginatif, là encore l'adolescent à la synagogue reçoit de plein fouet un contre ut mortifère dont il subira ... Lire la suite
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Biographie

Outre Mario Vargas Llosa, ALBERT BENSOUSSAN a traduit d'innombrables
auteurs de langue espagnole parmi lesquels G. Cabrera Infante, M. Puig, J. Donoso,
ou Zoé Valdès. Citons aussi Picasso pour ses œuvres poétiques. D'autre part, Albert
Bensoussan est l'auteur d'une dizaine de livres, aussi bien des essais que des fictions.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution28/03/2001
EAN9782862311661
Nb. de Pages120
EditeurMaurice Nadeau
Caractéristiques
Poids401 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,0 cm x 13,5 cm x 1,3 cm
Détail

Ce récit en treize séquences plonge dans l'Algérie coloniale et la cohabitation des communautés contrastées.
Un parcours qui fait intervenir un narrateur aux multiples voix et à différents âges, aux prises avec un kaléidoscope d'images éparses : ici la main perdue de la mère fait pénétrer accidentellement le petit enfant juif dans l'intimité d'une famille musulmane, là un mauvais livret scolaire pousse au désespoir un écolier trop imaginatif, là encore l'adolescent à la synagogue reçoit de plein fouet un contre ut mortifère dont il subira sa vie durant les séquelles.
Un défilé de figures hautes en couleur: la tante un peu sorcière, l'oncle photographe trop porté sur l'anisette, la voisine de palier qui découvre à la fois l'adultère et la félonie des détrousseurs de veuves, cette autre voisine incapable d'interpréter son rêve de chameau et qui rédige un testament incongru, ce chantre d'église peu habité par la grâce divine ou ce choriste d'opéra poursuivant de sa jalousie de barbon un rival qui n'a même pas de poil au menton.
Une chronique de la ville d'Alger, fantasmée autant que remémorée, s'organise au cours de déambulations dans une atmosphère à la fois souriante et truculente, sans oblitérer le drame qui se prépare : le naufrage du pays. La famille apparaît ici comme une valeur refuge : la mère aimante, le père à la bienveillante autorité, la soeur complice des jeux sur une terre qui veut croire à la fermeté des dunes et à la promesse des fleurs.
Mais pour quels fruits dérisoires : un cornet de jujubes, une écorce d'orange, une poignée de dattes ?
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