class
Profitez de 15% de réduction sur votre première commande ! Code promo: BIENVENUE

les derniers jours de Venise

Eric Audinet (Auteur)
Note moyenne:

Résumé

Qu'un collectionneur vénitien commande deux toiles à Monsieur B., artiste peintre, et celui-ci part les livrer avec son ami Adrien, peintre en bâtiment, trouvant là prétexte à visiter Venise : " Tant de gens le pensent, qu'il doit bien y avoir une raison pour visiter Venise.
" Le voyage commence par une excursion à Bruges car les tableaux doivent être réalisés avec l'eau et la terre de cette ville, dont nous apprendrons plus tard la curieuse situation géographique.
Le narrateur s'invite au voyage, nous donnant ... Lire la suite
234,00 DH
En stock
Livrable dans 2 à 3 jours

Biographie

Eric Audinet est directeur des éditions confluences et écrivain. Auteur de plusieurs récits dont Les derniers jours de Venise (éditions Farrago, 2002) et Bande-Annonce (CIPM, 2015). Editeur des Œuvres complÚtes et de l'Œuvre photographique de Félix Arnaudin.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution10/01/2002
EAN9782844900838
EditeurFarrago
Caractéristiques
Poids255 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,1 cm x 14,0 cm x 1,6 cm
Détail

Qu'un collectionneur vénitien commande deux toiles à Monsieur B., artiste peintre, et celui-ci part les livrer avec son ami Adrien, peintre en bâtiment, trouvant là prétexte à visiter Venise : " Tant de gens le pensent, qu'il doit bien y avoir une raison pour visiter Venise.
" Le voyage commence par une excursion à Bruges car les tableaux doivent être réalisés avec l'eau et la terre de cette ville, dont nous apprendrons plus tard la curieuse situation géographique.
Le narrateur s'invite au voyage, nous donnant ainsi une vision quasi cinématographique des aventures des deux amis, qui, entre deux cartes postales jamais timbrées ou non expédiées, des attaques de gangsters au Kalachnikov, quelques bouteilles de gruaud-larose 1961 et des courses-poursuites de série B, s'acharnent à inventorier une Venise qui n'est peut-être pas la cité des Doges.
Les derniers jours de Venise, sorte de Bouvard et Pécuchet d'aujourd'hui, ramène les deux voyageurs au point de vue de départ du narrateur : " Michel Leiris eut beau voyager, il ne découvrit que lui-même.
"
Avis libraires et clients

Note moyenne
0 notes
Donner une note