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Le mythe irresponsable de la « croissance » : Pour une révolution culturelle

Yvon Quiniou (Auteur)
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Résumé

Dans ce nouveau livre, Yvon Quiniou, toujours habité par la réflexion politique dans une optique progressiste, s'empare d'une question terriblement inquiétante aujourd'hui et pour demain : celui de la crise écologique provoquée par la croissance non maîtrisée de la production technique qui pourrait amener l'humanité à sa mort. Mais il ne se contente pas d'accuser la consommation individuelle qui l'alimente, il pointe l'influence considérable du productivisme capitaliste dans le travail humain, comme le consumérisme et le rôle de la publicité qui y contribue. Il ... Lire la suite
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Biographie

Yvon Quiniou, agrégé de philosophie, est membre de la rédaction de la revue Actuel Marx. Auteur de nombreux ouvrages et articles d'inspiration matérialiste, il procÚde ici, d'une maniÚre vivante et précise, au bilan d'une pensée complexe et mal connue, souvent déformée par ceux-là même qui se déclarent « marxistes ». Une préface sera ajoutée à cette 2e édition, où l'auteur reviendra notamment sur la crise financiÚre de cette fin 2008 et la remise en cause du capitalisme par de nombreux acteurs.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution10/07/2025
CollectionQuestions Contemporaines
EAN9782336541440
Nb. de Pages96
Caractéristiques
EditeurÉditions L'Harmattan
Poids118 g
PrésentationGrand format
Dimensions21,5 cm x 13,5 cm x 0,6 cm
Détail

Dans ce nouveau livre, Yvon Quiniou, toujours habité par la réflexion politique dans une optique progressiste, s'empare d'une question terriblement inquiétante aujourd'hui et pour demain : celui de la crise écologique provoquée par la croissance non maîtrisée de la production technique qui pourrait amener l'humanité à sa mort. Mais il ne se contente pas d'accuser la consommation individuelle qui l'alimente, il pointe l'influence considérable du productivisme capitaliste dans le travail humain, comme le consumérisme et le rôle de la publicité qui y contribue. Il va même jusqu'à envisager une volonté de puissance ou de croissance infinie que certains penseurs (comme Nietzsche) ont pu mettre au compte de l'homme et pouvant même abîmer sa fonction de « sujet » responsable de l'histoire. Il conclut alors en refusant cependant toute critique absolue de la croissance, refusant la dérive naturaliste d'un nouvel écologisme (Descola, Latour) au profit d'une maîtrise éclairée du développement scientifico-technique non régi par le seul souci du profit économique.

Un complément personnel nous invite à retrouver un goût de la nature et du bonheur de la côtoyer que l'humanité semble avoir oublié !
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