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comme une clarté furtive : naître, mourir

Catherine Chalier (Auteur)
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Résumé

Notre existence n'est elle qu'une petite lumière au coeur de l'obscurité ? Il ne va pas de soi de penser que l'enfant - et tout être humain donc - vienne du néant, du rien. Socrate enseigne que la vérité est déjà en lui. Les sages du Talmud font baigner l'enfant à naître dans la lumière originelle. Pour ces pensées, pourtant très différentes, l'âme humaine est irréductible à un pur effet de la matérialité. L'autre pôle de notre finitude - la mort - a bien davantage ... Lire la suite
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Biographie

Catherine Chalier est professeure de philosophie à l'université de Paris X-Nanterre. Elle est l'auteure de plusieurs ouvrages qui explorent le lien entre la philosophie et la source hébraïque de la pensée Elle est spécialiste de l'œuvre d'Emmanuel Levinas, dont elle a édité avec Rodolphe Calin deux volumes de l'édition critique à l'Imec.

Caractéristiques

Caractéristiques
Date Parution15/09/2021
CollectionPhilosophie
EAN9782227500204
Nb. de Pages300
Caractéristiques
EditeurBayard
Poids358 g
PrésentationGrand format
Dimensions19,0 cm x 14,5 cm x 2,3 cm
Détail

Notre existence n'est elle qu'une petite lumière au coeur de l'obscurité ? Il ne va pas de soi de penser que l'enfant - et tout être humain donc - vienne du néant, du rien. Socrate enseigne que la vérité est déjà en lui. Les sages du Talmud font baigner l'enfant à naître dans la lumière originelle. Pour ces pensées, pourtant très différentes, l'âme humaine est irréductible à un pur effet de la matérialité. L'autre pôle de notre finitude - la mort - a bien davantage été pensée par les philosophes et les théologiens. Vie et mort ne sont pas deux contraires, mais deux forces, l'une de création et l'autre de "décréation", elles concernent tous les champs de l'existence. Dans ce texte de réflexion puissant et lumineux, Catherine Chalier invite à penser la mort autrement. Pas seulement en constatant les effractions du mal, de la souffrance ; pas seulement non plus donc en méditant sur notre destinée ultime, que ce soit avec mélancolie, sagesse, voire espérance, mais plus simplement, de façon plus grave, en faisant en sorte que la pensée de la mort insuffle en nous une nouvelle urgence dans notre amour de la vie.
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